VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg
Informations pratiques
- Prescription : liste I
- Format : gélule à libération prolongée
- Date de commercialisation : 19/02/1997
- Statut de commercialisation : Autorisation active
- Code européen : Pas de code européen
- Pas de générique
- Laboratoires : TEVA SANTE
Les compositions de VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg
Format | Substance | Substance code | Dosage | SA/FT |
---|---|---|---|---|
Gélule | CHLORHYDRATE DE VÉRAPAMIL | 5242 | 240,00 mg | SA |
* « SA » : principe actif | « FT » : fraction thérapeutique
Les différents formats (emballages) de vente de ce médicament :
plaquette(s) PVC-Aluminium de 30 gélule(s)
- Code CIP7 : 3614441
- Code CIP3 : 3400936144415
- Prix : 5,14 €
- Date de commercialisation : 19/05/2003
- Remboursement : Ce médicament peut être pris en charge ou remboursé par l'Assurance Maladie dans les cas suivants :<br><br>- Hypertension artérielle. ; JOURNAL OFFICIEL ; 03/09/97
- Taux de remboursement : 65%
plaquette(s) PVC-Aluminium de 90 gélule(s)
- Code CIP7 : 3731201
- Code CIP3 : 3400937312011
- Prix : 14,54 €
- Date de commercialisation : 24/04/2009
- Remboursement : Ce médicament peut être pris en charge ou remboursé par l'Assurance Maladie dans les cas suivants :<br><br>- Hypertension artérielle. ; JOURNAL OFFICIEL ; 03/09/97
- Taux de remboursement : 65%
Caractéristiques :
ANSM - Mis à jour le : 28/01/2021
VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate de vérapamil ............................................................................................... 240,00 mg
Pour une gélule.
Excipient à effet notoire : Chaque gélule contient 16,58 mg de saccharose.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
Gélule à libération prolongée.
4.1. Indications thérapeutiques
· Traitement de l'angor stable.
4.2. Posologie et mode d'administration
Posologie
· Hypertension artérielle :
1 gélule à 240 mg le matin; si nécessaire, ajouter 120 mg le matin ou le soir.
· Traitement de l'angor stable :
1 à 2 gélules par jour (soit 240 à 480 mg/j).
Chez les sujets âgés de plus de 70 ans, la posologie sera de 120 mg à 240 mg par jour.
Population pédiatrique
La sécurité et l’efficacité de VERAPAMIL TEVA L.P. 240 mg, gélule à libération prolongée chez les enfants et les adolescents n’ont pas été établies.
Aucune donnée n’est disponible.
· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1,
· blocs auriculoventriculaires du 2ème et du 3ème degré non appareillés,
· choc cardiogénique,
· insuffisance cardiaque non contrôlée,
· infarctus du myocarde aigu avec complications (bradycardie, hypotension marquée et/ou insuffisance ventriculaire gauche),
· hypotension artérielle (systolique inférieure à 90 mm Hg),
· dysfonctions sinusales,
· fibrillation / flutter auriculaire associé à un syndrome de Wolff-Parkinson-White,
· enfant, en l'absence de travaux cliniques effectués sur cette catégorie de sujets,
· en association avec le dantrolène (perfusion), l’aliskiren, le millepertuis, le sertindole, (voir rubrique 4.5).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
· de surveiller étroitement la conduction auriculoventriculaire (effets additifs),
· de contrôler les concentrations de digoxine et d'adapter la posologie (car le vérapamil peut augmenter de façon importante les concentrations plasmatiques de digoxine).
Bloc auriculoventriculaire du 1er degré : celui-ci peut être majoré et conduire à un bloc complet (en particulier au pic de concentration).
Bradycardie : utiliser ce médicament avec précaution en cas de bradycardie.
Insuffisance hépatique : la métabolisation est dans ce cas considérablement ralentie; la demi-vie apparente d'élimination est très allongée. La posologie doit être fortement diminuée, par exemple par un facteur 5.
Sujets âgés : le volume de distribution et la clairance totale sont fortement diminués; par ailleurs, la biodisponibilité du vérapamil est plus élevée chez ces sujets que chez l'adulte. Il faut donc réduire la posologie et ne l'augmenter que progressivement.
Atteinte hépatique : des atteintes cytolytiques et cholestatiques d'origine immunoallergique, accompagnées ou non de symptômes cliniques à type de malaise, fièvre, ictère et/ou douleurs du quadrant supérieur droit de l'abdomen ont été rarement rapportées chez les patients recevant du vérapamil. Si de tels symptômes apparaissent, il est recommandé de procéder à un dosage des enzymes hépatiques.
En cas d'élévation des enzymes hépatiques et à plus forte raison, en cas d'ictère, le traitement doit être interrompu de manière définitive.
Pathologies neuromusculaires : Le vérapamil doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant une pathologie affectant la transmission neuromusculaire (myasthénie grave, syndrome de Lambert-Eaton) ou une dystrophie musculaire de Duchenne avancée.
Atteinte rénale : Le vérapamil doit être utilisé avec précaution et sous surveillance étroite chez les patients ayant une altération de la fonction rénale. Le vérapamil ne peut pas être éliminé par hémodialyse.
La prise de ce médicament est déconseillée avec les bêta-bloquants, la colchicine, l'esmolol, le triazolam, l’amiodarone (avec le vérapamil injectable), l'ivabradine, la quinidine (voir rubrique 4.5).
Excipients
Saccharose
Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Sodium
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par gélule, c’est-à-dire qu’il est essentiellement ≪ sans sodium ≫.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
De nombreux antiarythmiques sont dépresseurs de l'automatisme, de la conduction et de la contractilité cardiaques.
L’association d’antiarythmiques de classes différentes peut apporter un effet thérapeutique bénéfique, mais s’avère le plus souvent très délicate, nécessitant une surveillance clinique étroite et un contrôle de l'ECG. L'association d'antiarythmiques donnant des torsades de pointes (amiodarone, disopyramide, quinidiniques, sotalol…) est contre-indiquée.
L'association d'antiarythmiques de même classe est déconseillée, sauf cas exceptionnel, en raison du risque accru d'effets indésirables cardiaques.
L'association à des médicaments ayant des propriétés inotropes négatives, bradycardisantes et/ou ralentissant la conduction auriculo-ventriculaire est délicate et nécessite une surveillance clinique et un contrôle de l'ECG.
Médicaments bradycardisants
De nombreux médicaments peuvent entraîner une bradycardie. C'est le cas notamment des antiarythmiques de classe Ia, des bêta-bloquants, de certains antiarythmiques de classe III, de certains antagonistes du calcium, des digitaliques, de la pilocarpine, des anticholinestérasiques… etc.
Associations contre-indiquées
+ Dantrolène (perfusion) (par mesure de prudence)
Chez l'animal, des cas de fibrillations ventriculaires mortelles sont constamment observés lors de l'administration de vérapamil et de dantrolène par voie IV.
L'association de vérapamil et de dantrolène est donc potentiellement dangereuse.
Cependant, quelques patients ont reçu l'association nifédipine et dantrolène sans inconvénient.
+ Aliskiren
Augmentation des concentrations plasmatiques d'aliskiren et majoration du risque de ses effets indésirables.
+ Millepertuis
Réduction importante des concentrations de vérapamil, avec risque de perte de son effet thérapeutique
+ Sertindole
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Associations déconseillées
+ Bêta-bloquants (sauf esmolol)
· dans l’indication traitement de l'insuffisance cardiaque (concerne le bisoprolol, le carvédilol, le métoprolol et le nébivolol) : effet inotrope négatif avec risque de décompensation de l'insuffisance cardiaque, troubles de l'automatisme (bradycardie, arrêt sinusal) et troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculo-ventriculaire (synergie des effets).
· dans les autres indications : troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), trouble de la conduction sino-auriculaire et auriculo-ventriculaire et défaillance cardiaque. Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECG étroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
+ Esmolol en cas d'altération de la fonction ventriculaire gauche.
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et défaillance cardiaque (synergie des effets).
+ Colchicine
Risque de majoration des effets indésirables de la colchicine, par augmentation de ses concentrations plasmatiques par le vérapamil.
+ Triazolam
Augmentation des concentrations plasmatiques de triazolam (diminution de son métabolisme hépatique avec majoration de la sédation).
+ Amiodarone
Avec le vérapamil injectable, risque de bradycardie ou de bloc auriculo-ventriculaire, notamment chez les personnes âgées. Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et ECG continu.
+ Ivabradine
Augmentation des concentrations plasmatiques de l'ivabradine et de ses effets indésirables, notamment cardiaques (inhibition de son métabolisme hépatique par le vérapamil), qui s'ajoutent aux effets bradycardisants de ces molécules. Si l'association ne peut être évitée, surveillance étroite de la fréquence cardiaque.
+ Quinidine
Risque de majoration importante des effets hémodynamiques du vérapamil, avec hypotension et bradycardie sévères.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi
+ Baclofène
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique de l'antihypertenseur si nécessaire.
+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques : carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne, primidone
Diminution des concentrations plasmatiques de l'antagoniste du calcium par augmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'antagoniste du calcium pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.
+ Carbamazépine (voir aussi anticonvulsivants inducteurs enzymatiques)
Augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine avec signes de surdosage (inhibition de son métabolisme hépatique).
Surveillance clinique et réduction éventuelle de la posologie de la carbamazépine.
+ Rifampicine
Diminution des concentrations plasmatiques de l'antagoniste du calcium par augmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de l'antagoniste du calcium pendant le traitement par la rifampicine et après son arrêt.
+ Atorvastatine
Risque majoré d'effets indésirables (dose-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant). Utiliser des doses plus faibles d'hypocholestérolémiant ou une autre statine non concernée par ce type d'interaction.
+ Simvastatine
Risque majoré d'effets indésirables (dose-dépendants) à type de rhabdomyolyse (diminution du métabolisme hépatique de l'hypocholestérolémiant). Ne pas dépasser la posologie de 20 mg/j de simvastatine ou utiliser une autre statine non concernée par ce type d'interaction.
+ Buspirone
Augmentation des concentrations plasmatiques de la buspirone (diminution de son métabolisme hépatique) avec augmentation de ses effets indésirables.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la buspirone si nécessaire.
+ Immunosuppresseurs (ciclosporine, tacrolimus, sirolimus, évérolimus)
Augmentation des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur (diminution de son métabolisme hépatique), et majoration du risque de gingivopathies.
Dosage des concentrations sanguines de l'immunosuppresseur, contrôle de la fonction rénale et adaptation de la posologie pendant l'association et après son arrêt.
+ Esmolol, si la fonction ventriculaire gauche est normale
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troubles de la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et défaillance cardiaque (synergie des effets).
Surveillance clinique et ECG.
+ Médicaments donnant des torsades de pointes : amiodarone, amisulpride, arsenieux, bépridil, chlorpromazine, cisapride, cyamémazine, diphémanil, disopyramide, dofétilide, dolasétron IV, dropéridol, érythromycine IV, fluphenazine, halofantrine, halopéridol, hydroquinidine, ibutilide, levomepromazine, luméfantrine, méquitazine, méthadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, quinidine, sertindole, sotalol, spiramycine IV, sulpiride, sultopride, tiapride, toremifene, vincamine IV, zuclopenthixol) (pour amiodarone, quinidine et sotalol voir aussi associations déconseillées)
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Midazolam
Augmentation des concentrations plasmatiques de midazolam (diminution de son métabolisme hépatique avec majoration de la sédation).
Surveillance clinique et réduction de la posologie pendant le traitement par le vérapamil.
+ Digoxine
Bradycardie excessive et bloc auriculoventriculaire, par majoration des effets de la digoxine sur l'automatisme et la conduction et par diminution de l'élimination rénale et extrarénale de la digoxine.
Surveillance clinique, E.C.G. et éventuellement contrôle de la digoxinémie; s'il y a lieu, adaptation de la posologie de la digoxine pendant le traitement par le vérapamil et après son arrêt.
+ Amiodarone
Avec le vérapamil, par voie orale, risque de bradycardie ou de bloc auriculo-ventriculaire, notamment chez les personnes âgées. Surveillance clinique et ECG.
+ Dabigatran
Augmentation des concentrations plasmatiques de dabigatran avec majoration du risque de saignement.
Surveillance clinique et adaptation de la posologie du dabigatran si nécessaire sans excéder 150 mg/j, voire 75 mg/j en cas d’insuffisance rénale.
+ Dronédarone
Risque de bradycardie ou de bloc auriculo-ventriculaire, notamment chez le sujet âgé. Par ailleurs, légère augmentation des concentrations de dronédarone par diminution de son métabolisme par le vérapamil. Débuter le traitement par le vérapamil aux posologies minimales recommandées, et ajuster les doses en fonction de l'ECG.
+ Inhibiteurs puissants du CYP3A4 (clarithromycine, itraconazole, kétoconazole, nelfinavir, posaconazole, ritonavir, télithromycine, voriconazole)
Bradycardie et/ou troubles de la conduction auriculo-ventriculaire, par diminution du métabolisme hépatique du vérapamil par l’inhibiteur. Surveillance clinique et ECG. S’il y a lieu, adaptation de la posologie du vérapamil pendant le traitement par l’inhibiteur, et après son arrêt, le cas échéant.
+ Tamsulosine
Risque de majoration des effets indésirables de la tamsulosine, par inhibition de son métabolisme hépatique. Surveillance clinique et adaptation de la posologie de la tamsulosine pendant le traitement par l'inhibiteur enzymatique et après son arrêt le cas échéant.
Associations à prendre en compte
+ Alpha-bloquants à visée urologique (alfuzosine, doxazosine, prazosine, tamsulosine, térazosine)
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique majoré.
+ Antihypertenseurs alpha-bloquants (prazosine, trimazosine, urapidil)
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique majoré.
+ Amifostine
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
+ Antidépresseurs imipraminiques
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
+ Neuroleptiques
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
+ Clonidine, guanfacine
Troubles de l'automatisme et/ou troubles de la conduction auriculo-ventriculaire par addition des effets indésirables.
+ Dérivés nitrés et apparentés
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
+ Jus de pamplemousse
Augmentation des concentrations plasmatiques de vérapamil, avec risque de survenue d'effets indésirables.
+ Doxorubicine
Risque de majoration de la toxicité de la doxorubicine par augmentation de ses concentrations plasmatiques.
+ Pilocarpine
Risque de bradycardie excessive (addition des effets).
Autres interactions
La co-administration de vérapamil avec de la metformine peut réduire l'efficacité de la metformine.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu.
En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
Il n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant, pour évaluer un éventuel effet malformatif ou fœtotoxique du vérapamil lorsqu'il est administré pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le vérapamil pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse.
Pendant le troisième trimestre de la grossesse, l'utilisation du vérapamil au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet fœtotoxique particulier à ce jour. En conséquence, l'utilisation du vérapamil ne doit être envisagée au cours du troisième trimestre de la grossesse que si nécessaire.
Les concentrations dans le lait sont faibles : elles exposent l'enfant à une ingestion de moins d'un milligramme de vérapamil par jour. Les quelques cas décrits après un traitement par voie orale n'ont pas rapporté d'effets indésirables chez l'enfant. Par ailleurs, les concentrations plasmatiques dans le sang de l'enfant ne sont pratiquement pas détectables.
En conséquence, en cas d'indication spécifique du vérapamil chez la mère, l'allaitement est possible avec une surveillance clinique régulière de l'enfant.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Les effets indésirables présentés ci-dessous sont classés par système organe et par ordre de fréquence. La classification selon la fréquence utilise la convention suivante :
Effets très fréquent (≥ 1/10) ; Fréquent (≥1 1/100 ; <1/10) ; Peu fréquent (≥ 1/1000 ;<1/100) ; Rare (≥ 1/10000 ; <1/1000) et Très rare (<1/10000) ; Indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
Affections du système immunitaire
Fréquence rare : hypersensibilité avec bronchospasme
Affections du système nerveux
Fréquence indéterminée : céphalées, étourdissements, paresthésies, tremblements, somnolence.
Cas exceptionnels de syndrome extrapyramidal
Affections de l’oreille et du labyrinthe
Fréquence indéterminée : sensations vertigineuses
Affections cardiaques
Fréquence indéterminée : bradycardie, pause sinusale, bloc auriculoventriculaire, choc cardiogénique, œdème périphérique, insuffisance cardiaque congestive, hypotension et flushs.
Affections gastro-intestinales
Fréquence indéterminée : nausées, vomissements, constipation quelques fois sévère imposant l'arrêt du traitement,
Des atteintes gingivales de type gonflement léger des gencives, gingivite ou hyperplasie gingivale ont été rarement signalées. Ces atteintes sont le plus souvent régressives à l'arrêt du traitement et nécessitent une hygiène bucco-dentaire soignée.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquence indéterminée : réaction allergique (urticaire, prurit), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe.
Affections musculo-squelettiques et systémique :
Fréquence indéterminée : faiblesse musculaire, douleurs musculaires ou articulaires.
Affections hépato-biliaires:
Fréquence indéterminée : des atteintes hépatiques cytolytiques et/ou cholestatiques d'origine immunoallergique à traduction clinique (ictère et/ou douleurs abdominales, malaise, fièvre) ou purement biologique (augmentation des transaminases et/ou des phosphatases alcalines) réversibles à l'arrêt du traitement ont été rapportées.
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquence indéterminée : impuissance, gynécomastie, galactorrhée, élévation du taux de prolactine.
Investigations
Altération réversible de la fonction hépatique caractérisée par une augmentation des transaminases et/ou de la phosphatase alcaline (le plus probablement une réaction d’hypersensibilité), augmentation des taux de prolactine dans le sang.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
L'antidote est représenté par l'isoprénaline (voie intraveineuse).
Les troubles conductifs peuvent bénéficier d'un entraînement électrosystolique; le glucagon et les sels de calcium peuvent être utilisés en cas de choc cardiogénique.
Le vérapamil ne peut pas être éliminé par hémodialyse.
En raison d'une possible absorption retardée du produit à libération prolongée, les patients doivent être surveillés pendant une période suffisante en fonction des symptômes cliniques.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Le vérapamil est un antagoniste calcique spécifique, c'est-à-dire qu'il diminue les mouvements transmembranaires du calcium sans modifier, aux concentrations représentatives des concentrations thérapeutiques, les mouvements des autres ions.
Au niveau cardiaque :
· dépression de l'activité du nœud sinusal.
· ralentissement de la vitesse de conduction et allongement des périodes réfractaires au niveau du nœud auriculoventriculaire proportionnels aux concentrations. Ces effets expliquent que le vérapamil soit le prototype des antiarythmiques de classe IV et qu'il soit efficace sur les troubles du rythme impliquant la jonction auriculoventriculaire.
· le vérapamil ne modifie ni la vitesse de conduction, ni les périodes réfractaires des oreillettes, du système His-Purkinje, des ventricules, des voies accessoires.
· le vérapamil déprime la contractilité du myocarde (effet inotrope négatif).
Au niveau artériel :
· le vérapamil entraîne une relaxation et s'oppose à la contraction des fibres musculaires lisses artérielles.
L'abaissement des résistances s'observe dans tous les territoires et entraîne une baisse de la pression artérielle.
La bradycardie (habituellement modérée), la dépression de la contractilité, la diminution de la postcharge concourent à une diminution du travail cardiaque et donc à une diminution de la consommation d'oxygène par le myocarde. La vasodilatation coronaire entraîne une augmentation du débit coronaire sans effet de vol.
· le débit sanguin rénal est augmenté.
· chez la plupart des malades, l'effet dépresseur myocardique est contrebalancé par la diminution de la postcharge et par la mise en jeu réflexe du système sympathique, comme en témoigne l'absence de diminution de l'index cardiaque. Cependant, chez les sujets à fonction cardiaque altérée, une détérioration de la fonction ventriculaire peut se produire en cas de prise de bêta-bloquants ou d'autres médicaments dépresseurs cardiaques.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Le vérapamil administré par voie orale :
· est absorbé à plus de 90 %,
· subit un intense effet de premier passage hépatique expliquant sa faible biodisponibilité absolue (20 à 35 %),
· le pic de concentration est établi en 6 heures environ,
· la demi-vie apparente d'élimination est d'environ 11 heures,
· liaison aux protéines plasmatiques : 90 %,
· la très forte métabolisation hépatique conduit à de nombreux métabolites (plus de 12) dont le plus important est le nor-vérapamil qui peut atteindre, à l'équilibre, des concentrations voisines de celles de la substance mère. Il s'agit d'un métabolite actif (l'efficacité pharmacologique du norvérapamil a été évaluée à environ 20 % de celle du vérapamil dans une étude chez le chien),
· l'élimination, presque exclusivement sous forme de métabolites, est rénale pour 70 %, digestive pour 20 à 25 %.
5.3. Données de sécurité préclinique
Composition de l'enveloppe de la gélule: gélatine, dioxyde de titane, oxyde de fer jaune, oxyde de fer noir, érythrosine, indigotine.
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à l'abri de l'humidité.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
30 ou 90 gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
100-110, ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE
92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 361 444 1 5: 30 gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium).
· 34009 373 120 1 1: 90 gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
Notice :
ANSM - Mis à jour le : 28/01/2021
VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée
Chlorhydrate de vérapamil
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d’autres questions, interrogez votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d’autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
1. Qu'est-ce que VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée et dans quels cas est-il utilisé ?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée ?
3. Comment prendre VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée ?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?
5. Comment conserver VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée ?
6. Contenu de l’emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique : Inhibiteur calcique sélectif à effets cardiaques directs - code ATC : C08DA01.
Ce médicament est indiqué dans le traitement de l'hypertension artérielle et dans le traitement de l'angine de poitrine stable.
Ne prenez jamais VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée :
· si vous êtes allergique au chlorhydrate de vérapamil ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6,
· si vous présentez certains troubles du rythme ou de la conduction cardiaque (blocs auriculo-ventriculaires du second et troisième degré non appareillés, fibrillation/flutter auriculaire), choc d'origine cardiaque, insuffisance cardiaque non équilibrée, infarctus du myocarde avec complications, hypotension artérielle,
· chez l'enfant,
· en cas de traitement par dantrolène (perfusion), aliskiren (traitement de l’hypertension), millepertuis (plante) ou sertindole (traitement de la schizophrénie) (voir rubrique « Autres médicaments et VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée »).
Avertissements et précautions
Utiliser ce médicament AVEC PRECAUTION :
· en cas d'insuffisance cardiaque,
· en présence de certains troubles du rythme et de la conduction cardiaques (bloc auriculo-ventriculaire du 1er degré, ralentissement du rythme cardiaque),
· en cas d'insuffisance hépatique,
· en cas de maladies neuromusculaires (myasthénie grave, syndrome de Lambert-Eaton ou dystrophie musculaire de Duchenne avancée),
· chez le sujet âgé,
· en cas d'altération de la fonction rénale.
En cas de survenue de malaise, fièvre, jaunisse et/ou douleur du ventre du côté droit, vous devez avertir votre médecin qui jugera de la nécessité de faire un dosage des enzymes hépatiques (du foie).
Adressez-vous à votre médecin, pharmacien ou votre infirmier/ère avant de prendre VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée.
Autres médicaments et VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée
Ce médicament NE DOIT PAS ETRE utilisé en association avec le dantrolène (en perfusion), l'aliskiren, le millepertuis et le sertindole (voir rubrique « Ne prenez jamais VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée »).
Ce médicament DOIT ETRE EVITE en association avec les bêta-bloquants, l'esmolol (en cas d'altération de la fonction ventriculaire gauche), la colchicine, le triazolam (médicament utilisé dans les troubles du sommeil), l'amiodarone (avec le vérapamil injectable), l'ivabradine, la quinidine (voir rubrique « Avertissements et précautions »).
Le vérapamil peut diminuer l'effet hypoglycémiant de la metformine.
Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament.
VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée avec des aliments, boissons et de l’alcool
Sans objet.
Grossesse, allaitement et fertilité
Il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant les premier et deuxième trimestres de grossesse. Au cours du troisième trimestre, ce médicament ne sera utilisé que sur les conseils de votre médecin.
Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez votre médecin car lui seul peut juger de la nécessité de le poursuivre.
Le vérapamil est faiblement excrété dans le lait maternel. Les quelques cas décrits après un traitement par voie orale n'ont pas rapporté d'effets indésirables chez l'enfant. Par ailleurs, les concentrations plasmatiques dans le sang de l'enfant ne sont pratiquement pas détectables. En conséquence, en cas d'indication spécifique du vérapamil chez la mère, l'allaitement est possible avec une surveillance clinique régulière de l'enfant.
Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien avant de prendre ce médicament.
Conduite de véhicules et utilisation de machines
Sans objet.
VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée contient du saccharose et du sodium.
Si votre médecin vous a informé(e) que vous avez une intolérance à certains sucres, contactez votre médecin avant de prendre ce médicament.
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par gélule, c’est-à-dire qu’il est essentiellement ≪ sans sodium ≫.
Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou votre pharmacien en cas de doute.
La posologie usuelle est de 1 gélule par jour.
Chez les sujets âgés de plus de 70 ans, la posologie sera de 120 mg à 240 mg par jour.
Elle est variable en fonction de l'affection traitée, elle est également adaptée à chaque patient.
Mode et voie d'administration
Voie orale.
Fréquence d'administration
Les gélules sont à prendre de préférence au cours des repas.
Si vous avez pris plus de VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée que vous n’auriez dû :
Sans objet
Si vous oubliez de prendre VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée :
Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre.
Si vous arrêtez de prendre VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée :
Sans objet.
Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère.
Les effets indésirables présentés ci-dessous sont classés par système organe et par ordre de fréquence. La classification selon la fréquence utilise la convention suivante :
Effet très fréquent (≥ 1/10) ; Fréquent (≥ 1/100 ; <1/10) ; Peu fréquent (≥ 1/1000 ; <1/100) ; Rare (≥ 1/10000 ; <1/1000) ; Très rare (<1/10000) ; Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Affections du système immunitaire
Fréquence indéterminée : rares cas d'allergie avec gêne respiratoire.
Affections du système nerveux
Fréquence indéterminée : maux de tête, étourdissements, sensations de fourmillement, tremblements, somnolence.
Très rarement : troubles associant une rigidité, des tremblements et/ou des mouvements anormaux.
Affections de l’oreille et du labyrinthe
Fréquence indéterminée : sensations vertigineuses.
Affections cardiaques
Fréquence indéterminée : ralentissement du rythme cardiaque, choc d'origine cardiaque, œdème au niveau des membres inférieurs, insuffisance cardiaque symptomatique, hypotension, rougeur brusque du visage.
Affections gastro-intestinales
Fréquence indéterminée : nausées, vomissements, constipation quelques fois sévère imposant l'arrêt du traitement.
Hyperplasie gingivale (gonflement des gencives) et gingivite ont été rarement signalées. Ces atteintes sont le plus souvent régressives à l'arrêt du traitement et nécessitent une hygiène bucco-dentaire soignée.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquence indéterminée : réactions cutanées (rougeur, transpiration), urticaire, démangeaisons, syndrome de Stevens-Johnson.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Fréquence indéterminée : faiblesse musculaire, douleurs musculaires ou articulaires.
Affections hépato-biliaires
Fréquence indéterminée : hépatite se manifestant par un ictère et/ou douleurs abdominales, malaise, fièvre ou anomalies hépatiques purement biologiques (augmentation des enzymes du foie) réversibles à l'arrêt du traitement.
Affections des organes de reproduction et du sein
Fréquence indéterminée : impuissance, gynécomastie (développement des seins chez l'homme), galactorrhée (écoulement anormal de lait).
Déclaration des effets secondaires
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
Ce médicament doit être conservé à l'abri de l’humidité.
Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement.
Ce que contient VERAPAMIL TEVA L. P. 240 mg, gélule à libération prolongée
· La substance active est :
Chlorhydrate de vérapamil.......................................................................................... 240,00 mg
Pour une gélule
· Les autres composants sont :
Cellulose microcristalline, cellulose microcristalline et carmellose sodique (AVICEL CL 611), stéarate de saccharose (CRODESTA F 160), povidone, talc, polysorbate 80, copolymère d'acrylates/méthacrylates neutre (EUDRAGIT E 30D), hypromellose (acétate et succinate) (AQOAT ASMF), siméthicone (ANTIFOAM C).
Composants de l'enveloppe de la gélule : gélatine, dioxyde de titane, oxyde de fer jaune, oxyde de fer noir, érythrosine, indigotine.
Ce médicament se présente sous forme de gélule à libération prolongée. Boîte de 30 ou 90.
Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché
100-110, ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE
92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX
Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché
100-110, ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE
92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX
98 RUE BELLOCIER
89100 SENS
FRANCE
Ou
SMB TECHNOLOGY S.A.
RUE DU PARC INDUSTRIEL N°39
6900 MARCHE EN FAMENNE
BELGIQUE
Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen
Sans objet.
La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est :
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France).
Service médical rendu
- Code HAS : CT-17414
- Date avis : 23/01/2019
- Raison : Renouvellement d'inscription (CT)
- Valeur : Important
- Description : Le service médical rendu par VERAPAMIL TEVA LP 240 mg reste important dans le traitement de l’hypertension artérielle ainsi que dans le traitement de l’angor stable.
- Lien externe
Amélioration service médical rendu
- Code HAS : CT-17414
- Date avis : 23/01/2019
- Raison : Renouvellement d'inscription (CT)
- Valeur : V
- Description : VERAPAMIL TEVA LP 240 mg n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) dans la prise en charge de l’angor stable par rapport aux autres spécialités à base de vérapamil.
- Lien externe