PARLODEL 10 mg

  • Commercialisé Supervisé Sous ordonnance
  • Orale
  • Code CIS : 66729097
  • Description : Ce médicament est préconisé dans la maladie de Parkinson, à différents stades de la maladie, seul ou en association à d'autres médicaments antiparkinsoniens.
  • Informations pratiques

    • Prescription : liste I
    • Format : gélule
    • Date de commercialisation : 26/06/1981
    • Statut de commercialisation : Autorisation active
    • Code européen : Pas de code européen
    • Pas de générique
    • Laboratoires : MEDA PHARMA

    Les compositions de PARLODEL 10 mg

    Format Substance Substance code Dosage SA/FT
    Gélule MÉSILATE DE BROMOCRIPTINE 328 11,47 mg SA
    Gélule BROMOCRIPTINE BASE 92297 10 mg FT

    * « SA » : principe actif | « FT » : fraction thérapeutique

    Les différents formats (emballages) de vente de ce médicament :

    plaquette(s) thermoformée(s) PVC PVDC aluminium de 30 gélule(s)

    • Code CIP7 : 3474230
    • Code CIP3 : 3400934742309
    • Prix : 9,98 €
    • Date de commercialisation : 01/01/1999
    • Remboursement : Pas de condition de remboursement
    • Taux de remboursement : 65%

    Caractéristiques :

    ANSM - Mis à jour le : 29/07/2021

    1. DENOMINATION DU MEDICAMENT  

    PARLODEL 10 mg, gélule

    2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE  

    Mésilate de bromocriptine.................................................................................................. 11,47 mg

    Quantité correspondant en bromocriptine base.................................................................... 10,00 mg

    Pour une gélule.

    Excipient à effet notoire : ce médicament contient du lactose (160.030 mg/gélule).

    Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

    3. FORME PHARMACEUTIQUE  

    Gélule.

    4. DONNEES CLINIQUES  

    4.1. Indications thérapeutiques  

    Maladie de Parkinson

    · Traitement de première intention en monothérapie.

    · Traitement de première intention associé à la lévodopa (dans ce deuxième cas, afin de diminuer la dose de chacun des produits actifs et de retarder l'apparition des fluctuations d'efficacité et des mouvements anormaux).

    · Association en cours d'évolution de la maladie en cas de :

    o diminution de l'effet de la lévodopa;

    o fluctuations de l'effet thérapeutique de la dopathérapie et autres phénomènes apparaissant après plusieurs années de traitement par la lévodopa: dyskinésies, dystonies douloureuses.

    · Inefficacité d'emblée de la dopathérapie.

    Le passage de la lévodopa à la bromocriptine doit toujours s'effectuer progressivement, avec réduction des doses de lévodopa (voir rubrique 4.2).

    4.2. Posologie et mode d'administration  

    L'adaptation de la posologie individuelle sera aussi fonction de la tolérance.

    La prescription de dompéridone 3 jours avant le début du traitement et pendant la progression posologique permet d'instaurer le traitement avec une bonne acceptabilité (voir rubrique 4.8).

    En début de traitement, il sera fait appel aux comprimés de Parlodel dosés à 2,5 mg de bromocriptine.

    Le schéma thérapeutique est le suivant :

    · ½ comprimé le 1er jour au repas du soir,

    · 1 comprimé le 2ème jour, puis augmentation progressive par paliers d'un comprimé tous les deux jours.

    A partir de 20 mg par jour, les gélules de Parlodel 5 mg puis 10 mg se substituent aux comprimés.

    Les posologies efficaces moyennes (à répartir en 3 prises quotidiennes) sont :

    · en monothérapie: 10 mg à 30 mg par jour;

    · en association précoce à la lévodopa: 10 mg à 25 mg par jour.

    Toutefois, chez certains patients, des doses plus élevées peuvent être exceptionnellement nécessaires.

    Chez les patients après 65 ans, la posologie journalière est comprise entre 5 et 15 mg (voir rubrique 4.4).

    En association avec la lévodopa, le PARLODEL permet de réduire de 20 à 60 % les doses quotidiennes de lévodopa.

    Lorsqu’une diminution de la dose ou l’arrêt du traitement est nécessaire, la dose doit être réduite graduellement (voir rubrique 4.4).

    4.3. Contre-indications  

    · Hypersensibilité à la bromocriptine, à d'autres alcaloïdes de l'ergot de seigle ou à l’un des excipients.

    · Pour le traitement à long terme : signes de valvulopathie cardiaque décelé lors d’une échocardiographie réalisée avant le traitement.

    · Toxémie gravidique, hypertension du post-partum ou puerpérale.

    · Insuffisance coronaire.

    · Patients ayant des troubles psychiques sévères (et/ou des antécédents psychiatriques), présentant des facteurs de risque vasculaire ou une artériopathie périphérique.

    · Association aux neuroleptiques antiémétiques (voir rubrique 4.5).

    4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi  

    Mises en garde

    La plupart des incidents ou accidents cardiovasculaires observés (voir rubrique 4.8) sont survenus chez des patients présentant des facteurs de risque vasculaire (hypertension artérielle, tabagisme, obésité), une artériopathie périphérique, ou traités de façon concomitante par des médicaments vasoconstricteurs dont l'association est déconseillée. Dans ces cas, il est conseillé au prescripteur d’évaluer le rapport entre le bénéfice attendu et les risques encourus par le patient.

    Une somnolence et des accès de sommeil d’apparition soudaine ont été rapportés lors du traitement par la bromocriptine particulièrement chez les patients atteints de maladie de Parkinson.

    Un endormissement soudain pendant les activités quotidiennes, dans certains cas sans prodrome, a été très rarement rapporté. Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de ces effets et ils doivent être avertis de se montrer prudents lors de la conduite automobile ou l’utilisation des machines pendant le traitement par la bromocriptine.

    Les patients ayant présenté une somnolence ou des accès de sommeil d’apparition soudaine ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser des machines. Une réduction des doses ou un arrêt du traitement peut être envisagé.

    Troubles du contrôle des impulsions

    Les patients doivent être surveillés de façon régulière à la recherche de l’apparition de troubles du contrôle des impulsions. Les patients et les soignants doivent être tenus informés que des troubles du contrôle des impulsions comportant le jeu pathologique, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses ou des achats compulsifs, une consommation excessive de nourriture et une alimentation compulsive, peuvent survenir chez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine. Une diminution de la dose ou un arrêt progressif doivent être envisagés si ces symptômes apparaissent.

    Risques de fibrose

    Chez les patients traités par la bromocriptine, en particulier à long terme et à fortes doses, il a été occasionnellement rapporté des épanchements pleuraux et péricardiques, des fibroses pleuropulmonaires, et des péricardites constrictives. Les patients présentant des symptômes pleuropulmonaires inexpliqués devront faire l’objet d’un examen approfondi et l’arrêt du traitement par la bromocriptine devra être envisagé.

    Chez quelques patients sous bromocriptine, en particulier à long terme et à fortes doses, une fibrose rétropéritonéale a été rapportée. Pour assurer un diagnostic de fibrose retropéritonéale à un stade précoce il est recommandé d’en suivre chez ces patients les manifestations (douleurs lombaires, œdèmes des membres inférieurs, trouble de la fonction rénale).

    La bromocriptine doit être interrompue si des fibroses rétropéritonéales sont diagnostiquées ou suspectées.

    Utilisation chez les patients parkinsoniens

    Quand une diminution de la dose ou un arrêt du traitement est nécessaire, la dose devra être réduite progressivement (voir rubrique 4.2). Une réduction brutale de la dose ou du traitement pourrait causer un syndrome malin des neuroleptiques. De plus, une réduction brutale de la dose ou du traitement des agonistes des récepteurs dopaminergiques pourrait causer un syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (SSAD). Des données limitées suggèrent que les patients présentant des troubles du contrôle des impulsions et ceux qui reçoivent une dose journalière élevée et/ou des doses cumulatives élevées d'agonistes dopaminergiques peuvent être plus à risque de développer un SSAD. Les symptômes de sevrage peuvent inclure l'apathie, l'anxiété, la dépression, la fatigue, la sudation et la douleur et ne répondent pas à la lévodopa. Avant de diminuer progressivement et d'arrêter le traitement, les patients doivent être informés des symptômes de sevrage potentiels. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant la diminution de doses et l'arrêt du traitement. En cas de symptômes de sevrage sévères et/ou persistants, une ré-administration temporaire du traitement à la dose efficace la plus faible peut être envisagée.

    Autres mises en garde

    Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

    La tolérance au traitement peut être réduite par absorption simultanée d’alcool.

    Précautions d’emploi

    Les patients ne doivent être traités par bromocriptine que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus en cas d’antécédents de troubles psychiques ou psychiatriques ou d’affections cardio-vasculaires sévères ou d’ulcères gastroduodénaux.

    La pression artérielle sera soigneusement contrôlée notamment les premiers jours du traitement. La prudence est recommandée chez les patients récemment traités ou traités par des médicaments susceptibles d'élever ou d'abaisser la pression artérielle. La survenue d'une hypertension, de céphalées persistantes ou de tout autre signe neurologique impose l'arrêt du traitement.

    Les patients de plus de 65 ans doivent bénéficier d’une surveillance tensionnelle et psychique et une posologie journalière plus faible préconisée (voir rubrique 4.2).

    4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions  

    Associations contre-indiquées

    + Neuroleptiques antiémétiques (alizapride, métoclopramide et métopimazine)

    Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques.

    Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

    Associations déconseillées

    + Neuroleptiques antipsychotiques (sauf clozapine) (chez les patients parkinsoniens)

    Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques. L'agoniste dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques. En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez les parkinsoniens traités par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminués progressivement jusqu'à l'arrêt (l'arrêt brutal des dopaminergiques expose à un risque de « syndrome malin des neuroleptiques »).

    + Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (ergotamine, dihydroergotamine, méthylergométrine)

    Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

    + Macrolides (sauf spiramycine)

    Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avec accroissement possible de l'activité ou apparition de signes de surdosage.

    + Sympathomimétiques indirects

    Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

    + Sympathomimétique alpha (voies orale et/ou nasale)

    Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives

    + Tétrabénazine

    Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et du tétrabénazine.

    Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

    + Antiparkinsoniens anticholinergiques

    Risque de majoration des troubles neuropsychiques.

    Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.

    Associations à prendre en compte

    + Dapoxétine

    Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.

    + Médicaments abaissant la pression artérielle

    Risque de majoration d’une hypotension, notamment orthostatique.

    4.6. Fertilité, grossesse et allaitement  

    Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu.

    En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.

    En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier de la bromocriptine.

    En conséquence, la bromocriptine peut être prescrite pendant la grossesse si besoin.

    4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines  

    L'attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines doit être attirée sur la possibilité de manifestations vertigineuses, de baisse de la vigilance et de baisse tensionnelle liées à l'utilisation de ce médicament.

    Les patients traités par la bromocriptine présentant une somnolence et/ou des accès de sommeil d'apparition soudaine, doivent être informés qu'ils ne doivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altération de leur vigilance pourrait les exposer eux-mêmes ou d'autres personnes à un risque d'accident grave ou de décès (par exemple l'utilisation de machines) jusqu'à la disparition de ces effets (voir rubrique 4.4).

    4.8. Effets indésirables  

    Les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de fréquence, comme suit : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10,000, < 1/1000); très rare (< 1/10,000), y compris cas isolés.

    Affections psychiatriques

    Peu fréquent : confusion*, agitation psychomotrice*, hallucinations*.

    Rare : troubles psychotiques.

    Ces troubles psychiatriques peuvent être observés plus particulièrement aux fortes posologies et essentiellement chez des patients présentant déjà des signes de détérioration mentale. Ces troubles nécessitent la réduction de la posologie, voire l’arrêt du traitement.

    Troubles du contrôle des impulsions

    Le jeu pathologique, l’augmentation de la libido, l’hypersexualité, les dépenses ou achats compulsifs, la consommation excessive de nourriture et l’alimentation compulsive, sont des troubles qui peuvent survenir chez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine (voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi).

    Affections du système nerveux

    Fréquent : céphalées*, sensation vertigineuse, assoupissement*.

    Peu fréquent : dyskinésies*.

    Rare : somnolence.

    Très rare : somnolence diurne excessive, accès de sommeil d’apparition soudaine.

    Affections cardiaques

    Rare : péricardite constrictive.

    Très rares : valvulopathie cardiaque (incluant régurgitation) et troubles associés (péricardite et épanchement péricardique).

    Affections vasculaires

    Peu fréquent : hypotension, hypotension orthostatique* (conduisant à titre exceptionnel à un collapsus nécessitant la réduction de la posologie, voire l’arrêt du traitement).

    Très rare : pâleur réversible des extrémités déclenchée par l’exposition au froid particulièrement chez les patients présentant déjà des antécédents de syndrome de Raynaud.

    Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

    Fréquent : congestion nasale*.

    Rare : épanchement pleural et fibrose pleuropulmonaire chez des patients parkinsoniens traités à long terme et à fortes doses (cf 4.4 Mises en garde et précautions d’emploi), pleurésie, dyspnée.

    Affections gastro-intestinales

    Fréquent : nausée, constipation*, vomissement.

    Peu fréquent : sécheresse de la bouche*.

    Rare : douleur abdominale, fibrose rétropéritonéale.

    Affections de la peau et du tissu sous-cutané

    Peu fréquent : perte des cheveux*, urticaire, eczéma, éruption maculo-papuleuse, éruption érythémateuse.

    Affections musculo-squelettiques et systémiques

    Peu fréquent : crampes au niveau des jambes*.

    Troubles généraux et anomalies au site d'administration

    Rare : œdème périphérique.

    Très rare : syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques en cas d’arrêt brutal du traitement.

    Fréquence indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles) : Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques incluant apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation, douleur, etc. (voir rubrique 4.4).

    * Habituellement ces effets (*) indésirables sont dose-dépendants et peuvent être contrôlés en diminuant la posologie.

    Déclaration des effets indésirables suspectés

    La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet www.signalement-sante.gouv.fr.

    4.9. Surdosage  

    Aucun cas mortel n'a été rapporté après surdosage aigu. La dose maximale unique ingérée par un adulte est de 225 mg. Les troubles observés ont été : nausées, vomissements, vertiges, hypotension orthostatique, hypotension, tachycardie, léthargie, somnolence/ baisse de la vigilance, sueurs et hallucinations.

    En cas de surdosage, l'administration de charbon actif est recommandée et en cas de prise très récente un lavage gastrique peut être envisagé.

    Le traitement de l'intoxication aiguë est symptomatique.

    5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES  

    5.1. Propriétés pharmacodynamiques  

    Classe pharmacothérapeutique : ANTIPARKINSONIENS AGONISTES DOPAMINERGIQUES, Code ATC : N04BC01.

    La bromocriptine est un agoniste dopaminergique.

    · Au niveau hypothalamo-hypophysaire, elle freine la sécrétion de la prolactine et réduit l'hyperprolactinémie, qu'elle soit d'origine physiologique (grossesse, post-partum) ou pathologique.

    · La bromocriptine peut corriger la sécrétion inappropriée de l'hormone de croissance.

    · Au niveau nigro-strié, par stimulation directe et prolongée des récepteurs dopaminergiques post-synaptiques, la bromocriptine pallie la déplétion en dopamine qui caractérise la maladie de Parkinson.

    5.2. Propriétés pharmacocinétiques  

    L'absorption est rapide et complète.

    Le taux d'absorption, estimé soit après administration de molécules radioactives, soit par dosages radioimmunologiques, est compris entre 75 et 95 %. Le maximum de la concentration plasmatique est atteint en 1 h 30 environ.

    Une dose orale de 5 mg de bromocriptine entraîne une Cmax de 0.465 ng/ml.

    Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 96 %. Le produit présente une forte affinité tissulaire. Le volume de distribution est voisin de 3,4 l/kg. L'élimination a lieu essentiellement par voies biliaire et fécale. Seul un faible pourcentage de la dose (6 %) est retrouvé dans les urines.

    La bromocriptine subit une biotransformation importante lors du premier passage hépatique, comme en témoignent les profils métaboliques complexes et l'absence quasi complète de molécule mère dans les urines et les fèces. Elle est un substrat du CYP3A4 : les inhibiteurs puissants de cette enzyme, comme les macrolides, par exemple, peuvent entraîner une augmentation de ses concentrations et ralentir son élimination.

    L'élimination plasmatique est biphasique, le temps de demi-vie moyen de la première phase α est de 6 h, celui de la deuxième phase β de 15 h.

    La cinétique est linéaire dans l'intervalle 1 - 7,5 mg par voie orale. Les taux plasmatiques obtenus après administration de doses nettement plus élevées (12,5 - 100 mg) sont également dans le rapport des doses.

    5.3. Données de sécurité préclinique  

    Non renseignée.

    6. DONNEES PHARMACEUTIQUES  

    6.1. Liste des excipients  

    Acide maléique, lactose monohydraté, amidon de maïs gélifiable, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium.

    Composition de l'enveloppe de la gélule : dioxyde de titane (E171), gélatine.

    Composition de l'encre d'impression : shellac, oxyde de fer noir (E172), hydroxyde de potassium.

    6.2. Incompatibilités  

    Sans objet.

    6.3. Durée de conservation  

    2 ans.

    6.4. Précautions particulières de conservation  

    Conditionnement sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium) :

    A conserver à une température ne dépassant pas 25°C et à conserver dans l'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité.

    Conditionnement en flacon (verre) :

    A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.

    6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur   

    30, 36, 50 et 100 gélules sous plaquette thermoformée (PVC/PVDC/aluminium).

    30, 36, 50 et 100 gélules en flacon (verre).

    6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation  

    Pas d'exigences particulières.

    7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  

    MEDA PHARMA

    40-44 RUE WASHINGTON

    75008 PARIS

    8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE  

    · 34009 347 423 0 9 : 30 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/aluminium).

    · 34009 347 424 7 7 : 36 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/aluminium).

    · 34009 347 425 3 8 : 50 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/aluminium).

    · 34009 347 427 6 7 : 100 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/aluminium).

    · 34009 324 810 8 8 : 30 gélules en flacon (verre).

    · 34009 324 811 4 9 : 36 gélules en flacon (verre).

    · 34009 324 812 0 0 : 50 gélules en flacon (verre).

    · 34009 324 813 7 8 : 100 gélules en flacon (verre).

    9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION  

    [à compléter ultérieurement par le titulaire]

    10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE  

    [à compléter ultérieurement par le titulaire]

    11. DOSIMETRIE  

    Sans objet.

    12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES  

    Sans objet.

    CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

    Liste I.

    Notice :

    ANSM - Mis à jour le : 29/07/2021

    Dénomination du médicament

    PARLODEL 10 mg, gélule

    Mésilate de bromocriptine

    Encadré

    Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.

    · Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.

    · Si vous avez d’autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.

    · Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d’autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.

    · Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.

    Que contient cette notice ?

    1. Qu'est-ce que PARLODEL 10 mg, gélule et dans quels cas est-il utilisé ?

    2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre PARLODEL 10 mg, gélule ?

    3. Comment prendre PARLODEL 10 mg, gélule ?

    4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?

    5. Comment conserver PARLODEL 10 mg, gélule ?

    6. Contenu de l’emballage et autres informations.

    Classe pharmacothérapeutique : ANTIPARKINSONIENS AGONISTES DOPAMINERGIQUES - code ATC : N04BC01.

    Indications thérapeutiques

    Ce médicament est préconisé dans la maladie de Parkinson, à différents stades de la maladie, seul ou en association à d'autres médicaments antiparkinsoniens.

    Ne prenez jamais PARLODEL 10 mg, gélule :

    · si vous êtes allergique (hypersensible) à la bromocriptine, à d’autres alcaloïdes de l’ergot de seigle, ou à l’un des autres composants contenus dans PARLODEL.

    · en cas d’antécédents ou présence de fibroses (tissu cicatriciel) affectant votre cœur, vos poumons ou votre abdomen.

    · en cas d’insuffisance coronaire.

    · en casde troubles psychiatriques ou d’antécédents des troubles d’affections psychiatriques et des facteurs de risque vasculaire ou une artériopathie périphérique.

    · en cas d’hypertension sévère au cours de la grossesse ou consécutive à l’accouchement,

    · en cas d’association aux neuroleptiques antiémétiques (voir rubrique « Autres médicaments et PARLODEL 10 mg, gélule »).

    Avertissements et précautions

    Adressez-vous à votre médecin, pharmacien ou votre infirmier/ère avant de prendre PARLODEL 10 mg, gélule.

    Faites attention avec PARLODEL 10 mg, gélule :

    Mises en garde

    En cas de somnolence excessive ou d’accès de sommeil d’apparition soudaine lors de votre traitement par PARLODEL, vous devez contacter votre médecin.

    Informez votre médecin si vous remarquez ou si votre famille/soignant remarque l’apparition d’envies ou de désirs de vous comporter de façon inhabituelle pour vous ou que vous ne pouvez pas résister à l’envie, à la pulsion ou à la tentation d’effectuer certaines activités qui pourraient vous affecter ou affecter d’autres personnes. Ces comportements sont appelés des troubles du contrôle des impulsions et peuvent comporter l’addiction aux jeux (d’argent), le fait de manger de façon excessive ou de faire des dépenses excessives, une augmentation anormale du désir sexuel ou une préoccupation avec des pensées ou des besoins sexuels plus importants. Votre médecin peut avoir besoin de diminuer la dose de bromocriptine ou d’arrêter le traitement.

    Si vous avez ou avez eu des fibroses (tissu cicatriciel) affectant votre cœur, vos poumons ou votre abdomen. Avant traitement, votre médecin vérifiera si votre cœur, vos poumons et vos reins sont en bon état. Il vous fera une échocardiographie (un examen par ultrason du cœur) avant le début du traitement et à intervalles réguliers pendant le traitement. Si des fibroses apparaissent le traitement doit être interrompu. Si traitement prolongé et en cas de douleurs lombaires (bas du dos), d’œdèmes (infiltration de liquide dans les tissus) des jambes ou de troubles respiratoires, contactez votre médecin.

    Une surveillance attentive est nécessaire en cas de tabagisme, hypertension artérielle, obésité, de maladie vasculaire ou de traitement concomitant par des médicaments vasoconstricteurs. Dans ces cas votre médecin doit évaluer le rapport entre le bénéfice attendu et les risques.

    Si votre médecin vous a informé(e) d’une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament.

    L’absorption d’alcool pendant le traitement est formellement déconseillée.

    Informez votre médecin si vous présentez des symptômes tels que de l’apathie (manque de motivation), anxiété, dépression, fatigue, transpiration, douleur après avoir réduit la dose ou arrêté votre traitement (appelé syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques). Il pourra décider de ralentir la diminution des doses ou vous demander de reprendre votre traitement, pour ensuite diminuer plus lentement.

    Précautions d’emploi

    Prévenez votre médecin en cas d’une affection cardiaque sévère, de troubles psychiques, de troubles de la mémoire ou d’ulcère de l’estomac ou du duodénum.

    Une surveillance de la tension artérielle est recommandée en début de traitement.

    Une surveillance attentive s’impose chez les patients de plus de 65 ans, en particulier une surveillance tensionnelle et psychique. Une dose faible doit être utilisée.

    EN CAS DE DOUTE, NE PAS HÉSITER À DEMANDER L'AVIS DE VOTRE MÉDECIN OU DE VOTRE PHARMACIEN.

    Enfants et adolescents

    Sans objet.

    Autres médicaments et PARLODEL 10 mg, gélule

    Afin d'éviter d'éventuelles interactions entre plusieurs médicaments, notamment avec les neuroleptiques (sauf la clozapine), les antibiotiques du groupe des macrolides (sauf la spiramycine), les alcaloides de l'ergot de seigle (ergotamine, dihydroergotamine, méthylergométrine) et certains médicaments utilisés comme décongestionnant nasal ou oral, il faut signaler systématiquement tout autre traitement en cours à votre médecin ou à votre pharmacien.

    PARLODEL 10 mg, gélule avec des aliments, boissons et de l’alcool

    Sans objet.

    Grossesse, allaitement et fertilité

    Dans certains cas, ce médicament peut être utilisé pendant la grossesse.

    Si vous découvrez que vous êtes enceinte pendant le traitement, consultez rapidement votre médecin.

    Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant de prendre tout médicament.

    Conduite de véhicules et utilisation de machines

    L'attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines est attirée sur la possibilité de manifestations vertigineuses ou d'une baisse de la vigilance lors de l'utilisation de ce médicament.

    PARLODEL peut induire une somnolence et des accès de sommeil d'apparition soudaine. Dans ces cas, vous ne devez pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altération de votre vigilance pourrait vous exposer vous-même ou d'autres personnes à un risque d'accident grave ou de décès (par exemple l'utilisation de machines) jusqu'à la disparition de ces effets.

    PARLODEL 10 mg, gélule contient du lactose

    Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute.

    Posologie

    La posologie est variable et doit être adaptée à l'indication thérapeutique, à l'intensité des troubles ainsi qu'à la susceptibilité individuelle de chaque patient.

    Dans tous les cas, se conformer strictement à l'ordonnance de votre médecin.

    Mode et voie d'administration

    Voie orale.

    Fréquence d'administration

    Il est recommandé de prendre ce médicament au milieu des repas

    Si vous avez pris plus de PARLODEL 10 mg, gélule que vous n’auriez dû

    En cas de surdosage, prévenir un médecin.

    Si vous oubliez de prendre PARLODEL 10 mg, gélule

    Si l'administration d'une ou de plusieurs doses a été omise, prévenir votre médecin ou votre pharmacien.

    Si vous arrêtez de prendre PARLODEL 10 mg, gélule

    Sans objet.

    Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.

    · nausées, vomissements, hypotension orthostatique (diminution de la pression artérielle dans la position verticale pouvant s’accompagner de vertiges) et exceptionnellement, des malaises peuvent survenir en début de traitement ; ces effets régressent en général spontanément. En cas contraire, la dose doit être diminuée, voire le traitement doit être arrêté ;

    · somnolence, accès de sommeil peuvent apparaître soudainement ;

    · confusion, hallucinations, délires, agitation peuvent être observés, particulièrement aux fortes doses et chez des patients présentant des signes de détérioration mentale. Ces effets nécessitent une réduction de la posologie, voire un arrêt du traitement.

    Ont été également observés par ordre de fréquence décroissante :

    · maux de tête, sensations vertigineuses, assoupissement

    · congestion nasale

    · constipation

    · dyskinésies (mouvements anormaux)

    · hypotension

    · sécheresse de la bouche

    · réaction cutanée allergique

    · perte des cheveux

    · crampes au niveau des jambes

    · inflammation de l’enveloppe du cœur (péricardite)

    · pleurésie (inflammation de la plèvre), dyspnée (difficulté respiratoire). Dans de rares cas, après utilisation à long terme et à fortes doses, des fibroses (perte de l’élasticité) de la plèvre et des poumons ou du rétropéritoine ont été rapportées

    · douleur abdominale

    · œdème (infiltration de liquide dans les tissus) des membres inférieurs

    · pâleur des extrémités déclenchée par l'exposition au froid chez des malades présentant des antécédents de troubles artériels et de phénomène de Raynaud.

    Vous pouvez ressentir les effets indésirables suivants :

    · incapacité de résister aux envies d’effectuer une action qui pourrait causer du tort à vous-même ou à d’autres personnes, telle que :

    o Des impulsions fortes de jouer (de l’argent) de façon excessive malgré des conséquences personnelles ou familiales graves ;

    o Un intérêt modifié ou augmenté pour la sexualité et un comportement suscitant des soucis importants pour vous ou d’autres personnes, par exemple une augmentation de la libido ;

    o Des achats ou des dépenses excessifs et incontrôlables ;

    o Manger de façon excessive (manger des quantités importantes de nourriture dans une courte durée) ou manger de façon compulsive (manger plus de nourriture que normalement et plus que ce dont vous avez besoin pour vous rassasier).

    Informez votre médecin si vous présentez l’un de ces comportements. Il envisagera des mesures pour prendre en charge ou réduire ces symptômes.

    De très rares cas (affectant moins de une personne sur 10 000) de troubles touchant les valves cardiaques et troubles associés par exemple inflammation (péricardite) et fuite liquidienne dans le péricarde (épanchement péricardique) ont été rapportés.

    Les symptômes précoces peuvent être les suivants (associés ou non) : difficulté à respirer, respiration courte, douleurs thoraciques ou lombaires et jambes enflées. Si vous avez l’un de ces symptômes, vous devez consulter immédiatement votre médecin.

    A l’arrêt du traitement, en cas de troubles (fièvre, rigidité musculaire, confusion, etc…) consultez votre médecin.

    Informez votre médecin si vous présentez les symptômes suivants : apathie (manque de motivation), anxiété, dépression, fatigue, transpiration, douleur. Ces symptômes sont caractéristiques d’un syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques pouvant apparaître après l’arrêt ou la diminution de votre traitement.

    Déclaration des effets secondaires

    Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr

    En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.

    Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.

    N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur la boîte. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.

    Conditionnement sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium) :

    A conserver à une température ne dépassant pas 25°C et à conserver dans l'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité.

    Conditionnement en flacon (verre) :

    A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.

    Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout à l'égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu'il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l'environnement.

    Ce que contient PARLODEL 10 mg, gélule  

    · La substance active est :

    Mésilate de bromocriptine.................................................................................................. 11,47 mg

    Quantité correspondant en bromocriptine base.................................................................... 10,00 mg

    Pour une gélule n° 1 de 300 mg.

    · Les autres composants sont :

    Acide maléique, lactose monohydraté, amidon de maïs gélifiable, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium.

    Composition de l'enveloppe de la gélule : dioxyde de titane (E171), gélatine.

    Composition de l'encre d'impression : shellac, oxyde de fer noir (E172), hydroxyde de potassium.

    Qu’est-ce que PARLODEL 10 mg, gélule et contenu de l’emballage extérieur  

    Ce médicament se présente sous forme de gélule. Boîte de 30, 36, 50 ou 100 gélules.

    Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché  

    MEDA PHARMA

    40-44 RUE WASHINGTON

    75008 PARIS

    Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché  

    MYLAN MEDICAL SAS

    40-44 RUE WASHINGTON

    75008 PARIS

    Fabricant  

    MADAUS GMBH

    LÜTTICHER STRASSE 5

    53842 TROISDORF

    ALLEMAGNE

    OU

    MYLAN HUNGARY KFT/MYLAN HUNGARY LTD

    MYLAN UTCA 1

    KOMAROM, 2900

    HONGRIE

    Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen  

    Sans objet.

    La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est :  

    [à compléter ultérieurement par le titulaire]

    Autres  

    Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France).

    Service médical rendu

    • Code HAS : CT-15351
    • Date avis : 30/11/2016
    • Raison : Renouvellement d'inscription (CT)
    • Valeur : Important
    • Description : Le service médical rendu par PARLODEL 2,5 mg, comprimé sécable reste important dans les conséquences cliniques de l'hyperprolactinémie et les prolactinomes.<br>Le service médical rendu par PARLODEL 2,5 mg, comprimé sécable et PARLODEL 5 et 10 mg, gélule, reste important dans la maladie de Parkinson.
    • Lien externe