IRBESARTAN ZYDUS 300 mg
Informations pratiques
- Prescription : liste I
- Format : comprimé pelliculé
- Date de commercialisation : 16/11/2009
- Statut de commercialisation : Autorisation active
- Code européen : Pas de code européen
- Pas de générique
- Laboratoires : ZYDUS FRANCE
Les compositions de IRBESARTAN ZYDUS 300 mg
Format | Substance | Substance code | Dosage | SA/FT |
---|---|---|---|---|
Comprimé | IRBÉSARTAN | 31416 | 300 mg | SA |
* « SA » : principe actif | « FT » : fraction thérapeutique
Les différents formats (emballages) de vente de ce médicament :
plaquette(s) thermoformée(s) PVC PVDC aluminium de 30 comprimé(s)
- Code CIP7 : 3991416
- Code CIP3 : 3400939914169
- Prix : 3,75 €
- Date de commercialisation : 17/10/2012
- Remboursement : Pas de condition de remboursement
- Taux de remboursement : 65%
plaquette(s) thermoformée(s) PVC PVDC aluminium de 90 comprimé(s)
- Code CIP7 : 3991445
- Code CIP3 : 3400939914459
- Prix : 10,85 €
- Date de commercialisation : 17/10/2012
- Remboursement : Pas de condition de remboursement
- Taux de remboursement : 65%
Caractéristiques :
ANSM - Mis à jour le : 02/10/2017
IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Pour un comprimé pelliculé.
Excipient à effet notoire :
Chaque comprimé pelliculé contient 68,00 mg de lactose monohydraté.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
4.1. Indications thérapeutiques
Il est également indiqué dans le traitement de l’atteinte rénale chez les patients adultes hypertendus diabétiques de type 2, dans le cadre de la prise en charge par un médicament antihypertenseur (voir rubriques 4.3, 4.4, 4.5 et 5.1).
4.2. Posologie et mode d'administration
La posologie initiale et d’entretien habituelle recommandée est de 150 mg, administrée en une seule prise par jour, au cours ou en dehors des repas. IRBESARTAN ZYDUS à la dose de 150 mg une fois par jour permet généralement un meilleur contrôle de la pression artérielle sur 24 heures que la dose de 75 mg. Cependant, l’initiation du traitement avec 75 mg par jour pourra être envisagée particulièrement chez les patients hémodialysés ou les patients âgés de plus de 75 ans.
Chez les patients insuffisamment contrôlés à la dose de 150 mg une fois par jour, la posologie peut être augmentée à 300 mg ou un autre agent antihypertenseur peut être ajouté (voir rubriques 4.3, 4.4, 4.5 et 5.1). En particulier, il a été démontré que l’addition d’un diurétique tel que l’hydrochlorothiazide a un effet additif avec IRBESARTAN ZYDUS (voir rubrique 4.5).
Chez les patients hypertendus diabétiques de type 2, le traitement doit être initié à la dose de 150 mg d’irbésartan une fois par jour et augmenté à 300 mg une fois par jour, dose d’entretien préférable pour le traitement de l’atteinte rénale. La démonstration du bénéfice rénal de IRBESARTAN ZYDUS chez les patients hypertendus diabétiques de type 2 est basée sur des études dans lesquelles l’irbésartan était utilisé, si nécessaire, en addition à d’autres antihypertenseurs pour atteindre un objectif tensionnel (voir rubriques 4.3, 4.4, 4.5 et 5.1).
Populations particulières
Insuffisance rénale
Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients insuffisants rénaux. Une dose de départ plus faible (75 mg) devra être envisagée chez les patients sous hémodialyse (voir rubrique 4.4).
Insuffisance hépatique
Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients atteints d’insuffisance hépatique légère à modérée. Il n’y a pas d’expérience clinique chez les patients atteints d’insuffisance hépatique sévère.
Personne âgée
En dehors du sujet âgé de plus de 75 ans, chez lequel le traitement pourra être initié à la dose de 75 mg/j, aucune adaptation posologique n’est habituellement nécessaire chez la personne âgée.
Population pédiatrique : l’efficacité et la tolérance IRBESARTAN ZYDUS chez l’enfant âgé de 0 à 18 ans n’a pas été établie. Les données disponibles sont décrites dans les sections 4.8, 5.1 et 5.2 mais aucune recommandation de posologie ne peut être faite.
Mode d’administration
Voie orale.
Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
Deuxième et troisième trimestres de la grossesse (voir rubriques 4.4 et 4.6).
L’association de IRBESARTAN ZYDUS à des médicaments contenant de l’aliskiren est contre-indiquée chez les patients présentant un diabète ou une insuffisance rénale (DFG [débit de filtration glomérulaire] < 60 ml/min/1,73 m2) (voir rubriques 4.5 et 5.1).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Une hypotension symptomatique, en particulier après la première dose, peut survenir chez les patients présentant une déplétion sodée et/ou une hypovolémie secondaire à un traitement diurétique intensif, une alimentation hyposodée, une diarrhée ou des vomissements. Ces anomalies doivent être corrigées avant l’administration de IRBESARTAN ZYDUS.
Hypertension artérielle rénovasculaire
Il existe un risque accru d’hypotension sévère et d’insuffisance rénale lorsque des patients présentant une sténose bilatérale de l’artère rénale ou une sténose artérielle rénale sur rein fonctionnel unique, reçoivent des médicaments qui agissent sur le système rénine- angiotensine-aldostérone. Bien que cela n’ait pas été documenté avec IRBESARTAN ZYDUS, un phénomène similaire est à prévoir avec les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine-II.
Insuffisance rénale et transplantation rénale
Quand IRBESARTAN ZYDUS est utilisé́ chez les patients présentant une altération de la fonction rénale, un contrôle périodique du potassium et de la créatinine sériques est recommandé́. Aucune expérience n’est disponible concernant l’utilisation de IRBESARTAN ZYDUS chez les patients ayant eu une transplantation rénale récente.
Patients hypertendus diabétiques de type 2 ayant une atteinte rénale
Dans une analyse faite sur une étude menée chez des patients ayant une atteinte rénale avancée, les effets de l’irbésartan à la fois sur les événements rénaux et cardiovasculaires n’ont pas été uniformes à travers tous les sous-groupes. En particulier, ils sont apparus moins favorables chez les femmes et chez les patients non-blancs (voir rubrique 5.1).
Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
Il est établi que l’association d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine-II (ARA II) ou d’aliskiren augmente le risque d’hypotension, d’hyperkaliémie et d’altération de la fonction rénale (incluant le risque d’insuffisance rénale aiguë). En conséquence, le double blocage du SRAA par l’association d’IEC, ARA II ou d’aliskiren n’est pas recommandé́ (voir rubriques 4.5 et 5.1).
Néanmoins, si une telle association est considérée comme absolument nécessaire, elle ne pourra se faire que sous la surveillance d’un spécialiste et avec un contrôle étroit et fréquent de la fonction rénale, de l’ionogramme sanguin et de la pression artérielle. Les IEC et les ARA II ne doivent pas être associés chez les patients atteints d’une néphropathie diabétique.
Hyperkaliémie
Comme avec les autres médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine- aldostérone, une hyperkaliémie peut survenir au cours d’un traitement par IRBESARTAN ZYDUS, en particulier en présence d’une insuffisance rénale, d’une protéinurie avérée liée à une atteinte rénale due au diabète, et/ou d’une insuffisance cardiaque. Un contrôle rapproché du potassium sérique chez ces patients à risque est recommandé (voir rubrique 4.5).
Lithium
L’association du lithium et de IRBESARTAN ZYDUS est déconseillée (voir rubrique 4.5).
Sténose de la valve aortique et mitrale, cardiomyopathie obstructive hypertrophique
Comme avec les autres vasodilatateurs, une prudence particulière est indiquée chez les patients souffrant de sténose aortique ou mitrale ou de cardiomyopathie obstructive hypertrophique.
Hyperaldostéronisme primaire
Les patients avec hyperaldostéronisme primaire ne répondent généralement pas aux médicaments antihypertenseurs agissant par l’intermédiaire de l’inhibition du système rénine-angiotensine. En conséquence, l’utilisation de IRBESARTAN ZYDUS n’est pas recommandée.
Général
Chez les patients dont la tonicité vasculaire et la fonction rénale dépendent de façon prédominante de l’activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par exemple les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive sévère ou une maladie rénale sous-jacente, y compris une sténose des artères rénales), le traitement par inhibiteurs de l’enzyme de conversion ou antagonistes des récepteurs de l’angiotensine-II agissant sur ce système a été associé à une hypotension aiguë, une azotémie, une oligurie ou, rarement, à une insuffisance rénale aiguë (voir rubrique 4.5). Comme avec n’importe quels agents antihypertenseurs, une baisse brutale de la pression artérielle chez des patients porteurs d’une cardiopathie ischémique ou d’une maladie cardiovasculaire ischémique pourrait entraîner un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral.
Comme observé avec les inhibiteurs de l’enzyme de conversion, l’irbésartan et les autres antagonistes de l’angiotensine semblent moins efficaces pour baisser la pression artérielle chez les sujets noirs par rapport aux sujets non-noirs, probablement à cause d’une plus forte prévalence d’un taux de rénine bas dans la population hypertendue noire (voir rubrique 5.1).
Grossesse
Les inhibiteurs des récepteurs de l’angiotensine II (ARAII) dont IRBESARTAN ZYDUS ne doivent pas être débutés au cours de la grossesse. A moins que le traitement par ARAII ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par un ARAII doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté (voir rubriques 4.3 et 4.6).
Lactose
En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose ou de déficit en lactase.
Population pédiatrique
L’irbésartan a été étudié dans des populations pédiatriques de 6 à 16 ans mais les données actuelles sont insuffisantes pour supporter une extension d’utilisation chez l’enfant jusqu’à ce que des données complémentaires soient disponibles (voir rubriques 4.8, 5.1 et 5.2).
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Diurétiques et autres antihypertenseurs
D’autres agents antihypertenseurs peuvent augmenter les effets hypotenseurs de l’irbésartan. Cependant IRBESARTAN ZYDUS a été associé sans problème à d’autres antihypertenseurs tels que des bêtabloquants, des antagonistes calciques à longue durée d’action et des diurétiques thiazidiques. Un traitement antérieur par des diurétiques à une dose élevée peut provoquer une hypovolémie et un risque d’hypotension lorsqu’un traitement par IRBESARTAN ZYDUS est mis en route (voir rubrique 4.4).
Produits contenant de l’aliskiren ou un IEC
Les données issues des essais cliniques ont montré que le double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par l’utilisation concomitante d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion , d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’aliskiren est associé à une fréquence plus élevée d’événements indésirables tels que l’hypotension, l’hyperkaliémie et l’altération de la fonction rénale (incluant l’insuffisance rénale aiguë) en comparaison à l’utilisation d’un seul médicament agissant sur le SRAA (voir rubriques 4.3, 4.4 et 5.1).
Supplémentation en potassium ou diurétiques épargneurs de potassium
En vertu de l’expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l’administration concomitante de IRBESARTAN ZYDUS avec des diurétiques d’épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou d’autres médicaments qui peuvent augmenter les taux de potassium sérique (par exemple héparine) peut entraîner une élévation de la kaliémie, et donc n’est pas recommandée (voir rubrique 4.4).
Lithium
Des augmentations réversibles des concentrations sériques et de la toxicité du lithium ont été rapportées avec les inhibiteurs de l’enzyme de conversion. A ce jour, des effets similaires ont été très rarement rapportés avec l’irbésartan. Par conséquent, cette association est déconseillée (voir
rubrique 4.4). Si l’association se révèle nécessaire, une surveillance stricte de la lithémie est recommandée.
Anti-inflammatoires non stéroïdiens
Lorsque les antagonistes de l’angiotensine II sont administrés simultanément avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (c’est-à-dire les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase de type 2 (COX-2), l’acide acétylsalicylique (> 3 g/jour) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens non sélectifs), une atténuation de l’effet antihypertenseur peut se produire.
Comme avec les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, l’utilisation concomitante des antagonistes de l’angiotensine II et des anti-inflammatoires non stéroïdiens non sélectifs peut accroître le risque de détérioration de la fonction rénale, avec une possibilité d’insuffisance rénale aiguë, et une augmentation du potassium sérique en particulier chez les patients présentant une fonction rénale préalablement altérée. L’association devra être administrée avec prudence, en particulier chez les personnes âgées. Les patients devront être correctement hydratés et une surveillance de la fonction rénale devra être envisagée après l’initiation de l’association thérapeutique, puis périodiquement.
Autres informations sur les interactions de l’irbésartan
Dans les études cliniques, la pharmacocinétique de l’irbésartan n’a pas été modifiée par l’administration simultanée d’hydrochlorothiazide. L’irbésartan est principalement métabolisé par le CYP2C9 et dans une moindre mesure par glucuronidation. Il n’a pas été observé d’interactions pharmacocinétique et pharmacodynamique significatives quand l’irbésartan a été administré simultanément avec la warfarine, un médicament métabolisé par le CYP2C9. Les effets des inducteurs du CYP2C9, tels que la rifampicine, sur la pharmacocinétique de l’irbésartan n’ont pas été évalués. La pharmacocinétique de la digoxine n’a pas été altérée par l’administration simultanée d’irbésartan.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
L’utilisation des ARAII est déconseillée pendant le 1er trimestre de la grossesse (voir rubrique 4.4). L’utilisation des ARAII est contre-indiquée aux 2ème et 3ème trimestres de la grossesse (voir rubriques 4.3 et 4.4).
Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC lors du 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformation congénitale ne peut être exclue. Il n’existe pas d’études épidémiologiques disponibles concernant l’utilisation des ARAII au 1er trimestre de la grossesse, cependant un risque similaire aux IEC pourrait exister pour cette classe. A moins que le traitement avec un ARAII soit considéré comme essentiel, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse pour un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par un ARAII doit être arrêté immédiatement et si nécessaire un traitement alternatif sera débuté.
L’exposition aux ARAII au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connue pour entrainer une foetotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard d’ossification des os du crâne) et une toxicité chez le nouveau-né (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie). (voir rubrique 5.3).
En cas d’exposition aux ARAII à partir du 2ème trimestre de la grossesse il est recommandé de faire une échographie fœtale afin de vérifier la fonction rénale et les os de la voûte du crâne.
Les nouveau-nés de mère traitée par un ARAII doivent être surveillés sur le plan tensionnel (voir rubriques 4.3 et 4.4).
Aucune information n’étant disponible concernant l’utilisation de IRBESARTAN ZYDUS au cours de l’allaitement, IRBESARTAN ZYDUS n’est pas recommandé. Il est conseillé d’utiliser des traitements alternatifs ayant un profil de sécurité mieux établi au cours de l’allaitement, en particulier pour l’allaitement des nouveau-nés et des prématurés.
On ignore si l’irbesartan et ses métabolites sont excrétés dans le lait chez la femme. Les données pharmacodynamiques et toxicologiques disponibles chez le rat, ont montré que l’irbesartan et ses métabolites sont excrétés dans le lait (voir rubrique 5.3).
Fertilité
L’irbesartan n’a pas présenté d’effets sur la fertilité des rats traités et leurs descendances jusqu’aux doses entrainant les premiers signes de toxicité parentale (voir rubrique 5.3).
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
En se basant sur ses propriétés pharmacodynamiques, il est peu probable que l’irbésartan affecte cette aptitude. Lors de la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines, il devra être pris en compte que des vertiges ou de la fatigue peuvent survenir lors du traitement.
Lors des essais cliniques contrôlés versus placebo, menés chez des patients hypertendus, l’incidence globale des événements indésirables ne présentaient pas de différence entre le groupe traité par irbésartan (56,2%) et le groupe recevant un placebo (56,5%). Les interruptions de traitement dues aux événements indésirables d’ordre clinique ou biologique étaient moins fréquentes chez les patients traités par irbésartan (3,3%) que chez les patients sous placebo (4,5%). L’incidence des événements indésirables était indépendante de la posologie (dans la fourchette des posologies recommandées), du sexe, de l’âge, de la race ou de la durée du traitement.
Chez les patients hypertendus diabétiques présentant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, des vertiges orthostatiques et des hypotensions orthostatiques ont été rapportés chez 0,5% (c’est-à-dire, peu fréquemment) des patients, mais en excès par rapport au placebo.
Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours des études cliniques versus placebo dans lesquelles 1965 patients ont reçu de l’irbésartan.
Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une insuffisance rénale chronique et une protéinurie patente, les effets indésirables marqués d’une (*) ont été rapportés en plus chez plus de 2% des patients et en excès par rapport au placebo.
La fréquence des effets indésirables listés ci-après est définie selon la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1.000 à < 1/100) ; rare (≥ 1/10.000 à < 1/1.000) ; très rare (< 1/10.000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
Les effets indésirables supplémentaires rapportés après commercialisation sont également listés. Ces effets indésirables proviennent des déclarations spontanées.
Affections hématologiques et du système lymphatique :
Fréquence indéterminée : thrombocytopénie
Affections du système immunitaire :
Fréquence indéterminée : réactions d’hypersensibilité, telles angio-oedème, rash, urticaire
Troubles du métabolisme et de la nutrition :
Fréquence indéterminée : hyperkaliémie
Affections du système nerveux
Fréquent : sensation de vertige, vertige orthostatique*
Fréquence indéterminée : vertige, céphalée
Affections de l’oreille et du labyrinthe :
Fréquence indéterminée : acouphène
Affections cardiaques
Peu fréquent : tachycardie
Affections vasculaires
Fréquent : hypotension orthostatique*
Peu fréquent : bouffée vaso-motrice
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Peu fréquent : toux
Affections gastro-intestinales
Fréquent : nausée/vomissement
Peu fréquent : diarrhée, dyspepsie/brûlure d’estomac
Fréquence indéterminée : dysgueusie
Affections hépatobiliaires
Peu fréquent : ictère
Fréquence indéterminée : hépatite, anomalie de la fonction hépatique
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
Fréquence indéterminée : vascularite leukocytoclasique
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Fréquent : douleur musculo-squelettique*
Fréquence indéterminée : arthralgie, myalgie (associée dans certains cas à une augmentation des taux plasmatiques de créatine kinase), crampe musculaire
Affections du rein et des voies urinaires :
Fréquence indéterminée : altération de la fonction rénale y compris des cas d’insuffisance rénale chez des patients à risque (voir rubrique 4.4)
Affections des organes de reproduction et du sein
Peu fréquent : dysfonctionnement sexuel
Troubles généraux et anomalies au site d’administration
Fréquent : fatigue
Peu fréquent : douleur thoracique
Investigations :
Très fréquent : Une hyperkaliémie* est survenue plus souvent chez les patients diabétiques traités par irbésartan que chez ceux traités par placebo. Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, une hyperkaliémie (≥ 5,5 mEq/l) est survenue chez 29,4% (c’est-à-dire très fréquemment) des patients du groupe irbésartan 300 mg et chez 22% des patients du groupe placebo.
Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une insuffisance rénale chronique et une protéinurie patente, une hyperkaliémie (≥ 5,5 mEq/l) est survenue chez 46,3% des patients du groupe irbésartan et 26,3% des patients du groupe placebo.
Fréquent : des augmentations significatives de la créatine kinase plasmatique ont été observées fréquemment (1,7%) chez les sujets traités par irbésartan. Aucune de ces augmentations n’a été associée à des événements musculo-squelettiques cliniquement identifiables.
Chez 1,7% des patients hypertendus ayant une atteinte rénale diabétique avancée traitée par l’irbésartan, une diminution de l’hémoglobine*, non cliniquement significative a été observée.
Population pédiatrique
Dans une étude randomisée ayant inclus 318 enfants et adolescents hypertendus âgés de 6 à 16 ans, les effets indésirables suivants ont été rapportés pendant la phase en double aveugle de 3 semaines : céphalées (7,9%), hypotension (2,2%), vertiges (1,9%), toux (0,9%). Dans la période en ouvert de 26 semaines de cette étude, les anomalies biologiques les plus fréquemment observées ont été des augmentations de la créatinine (6,5%) et des valeurs de CK augmentées chez 2% des enfants recevant le produit.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Mécanisme d’action
Irbésartan est un antagoniste sélectif puissant des récepteurs de l’angiotensine-II (type AT1), actif par voie orale. Irbésartan bloque tous les effets de l’angiotensine-II, faisant intervenir les récepteurs AT1, indépendamment de l’origine ou de la voie de synthèse de l’angiotensine-II. L’antagonisme sélectif des récepteurs de l’angiotensine-II (AT1) provoque une élévation des taux plasmatiques de rénine et des taux d’angiotensine-II et une baisse de la concentration plasmatique d’aldostérone. La kaliémie n’est pas modifiée de façon significative par l’irbésartan seul aux doses recommandées. L’irbésartan n’inhibe pas l’ECA (kininase-II), enzyme qui génère la formation d’angiotensine-II et qui dégrade également la bradykinine en métabolites inactifs. L’irbésartan ne nécessite pas une activation métabolique pour être actif.
Efficacité et sécurité clinique
Hypertension
L’irbésartan abaisse la pression artérielle en entraînant des changements minimes de la fréquence cardiaque. La baisse de la pression artérielle est dose-dépendante avec une tendance vers un plateau aux doses supérieures à 300 mg, en une seule prise par jour. Des doses de 150 à 300 mg, en une prise quotidienne, abaissent les valeurs de la pression artérielle, en position couchée ou assise, en moyenne de 8-13/5-8 mm Hg (PAS/PAD) à la 24ème heure après la prise (vallée). Cette baisse est supérieure à celle observée sous placebo.
La baisse maximale de la pression artérielle est obtenue dans les 3 à 6 heures après l’administration du produit. L’effet antihypertenseur se maintient pendant au moins 24 heures. A 24 heures, la baisse de la pression artérielle est encore de 60 à 70% des chiffres diastolique et systolique au pic, aux doses recommandées. Une dose de 150 mg, en une prise par jour, produit des effets similaires sur la pression artérielle 24 heures après la prise (vallée) et sur la pression artérielle moyenne sur 24 heures que la même dose répartie en 2 prises par jour.
L’effet antihypertenseur de IRBESARTAN ZYDUS se manifeste en une à deux semaines, l’effet maximal étant observé quatre à six semaines après le début du traitement. Les effets antihypertenseurs se maintiennent lors des traitements au long cours. La pression artérielle revient progressivement à son état initial après arrêt du traitement. Un arrêt du traitement n’entraîne pas d’effet rebond.
Les effets antihypertenseurs de l’irbésartan et des diurétiques thiazidiques sont additifs. Chez les patients qui ne sont pas contrôlés de façon adéquate par l’irbésartan seul, l’addition d’une faible dose d’hydrochlorothiazide (12,5 mg) à l’irbésartan en une prise quotidienne produit une baisse plus importante de la PA, ajustée par rapport au placebo, 24 heures après la prise (vallée), de 7-10/3-6 mm Hg (PAS/PAD).
L’efficacité de IRBESARTAN ZYDUS est indépendante de l’âge ou du sexe. Comme pour les autres médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine, les patients noirs hypertendus présentent une réponse notablement moindre à l’irbésartan administré seul. Quand l’irbésartan est administré en association avec une faible dose d’hydrochlorothiazide (par exemple 12,5 mg par jour), la réponse antihypertensive des patients noirs rejoint celle des patients blancs.
Il n’y a pas d’effet cliniquement significatif sur l’uricémie ou sur l’uricurie.
Population pédiatrique
La baisse de pression artérielle obtenue après titration avec des doses cibles d’irbésartan de 0,5 mg/kg (faible), 1,5 mg/kg (moyenne) et 4,5 mg/kg (forte) a été évaluée chez 318 enfants et adolescents hypertendus ou à risque (diabétiques, antécédents familiaux d’hypertension) âgés de 6 à 16 ans sur une période de trois semaines. A la fin des trois semaines, la baisse moyenne par rapport à la valeur initiale du critère principal d’efficacité, pression artérielle systolique en position assise à la vallée (PAS ass), était de 11,7 mm Hg (faible dose), 9,3 mm Hg (dose moyenne) et 13,2 mm Hg (forte dose). Aucune différence significative n’a été mise en évidence entre ces doses. La baisse moyenne ajustée de la pression artérielle diastolique en position assise à la vallée (PAD ass) était la suivante : 3,8 mm Hg (faible dose), 3,2 mm Hg (dose moyenne), 5,6 mm Hg (forte dose). Sur une période ultérieure de deux semaines pendant laquelle les patients ont été re-randomisés sous la substance active ou le placebo, les patients sous placebo ont eu une augmentation de la PAS ass de 2,4 mm Hg et de la PAD ass de 2,0 mm Hg comparée à une modification de +0,1 et - 0,3 mm Hg respectivement pour les patients sous irbésartan toutes doses (voir rubrique 4.2).
Hypertension et diabète de type 2 avec atteinte rénale
L’étude « Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial (IDNT) » montre que l’irbésartan ralentit la progression de l’atteinte rénale chez des patients ayant une insuffisance rénale chronique et une protéinurie avérée. IDNT est une étude de morbi-mortalité en double aveugle, contrôlée, comparant IRBESARTAN ZYDUS, amlodipine et un placebo. Les effets à long terme (en moyenne 2,6 ans) de IRBESARTAN ZYDUS sur la progression de l’atteinte rénale et sur la mortalité toute cause ont été étudiés chez 1715 patients hypertendus diabétiques de type 2 ayant une protéinurie ≥ 900 mg/jour et une créatininémie comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl. Les patients ont reçu des doses progressives, en fonction de la tolérance, de 75 mg jusqu’à une dose d’entretien de 300 mg d’irbésartan, de 2,5 mg jusqu’à une dose de 10 mg d’amlodipine, ou un placebo. Dans tous les groupes de traitement, les patients ont reçu en général 2 à 4 antihypertenseurs (par exemple diurétiques, bêtabloquants, alpha-bloquants) afin d’atteindre un objectif tensionnel prédéfini ≤ 135/85 mm Hg ou une réduction de 10 mm Hg de la pression artérielle systolique si celle-ci était > 160 mm Hg à l’état basal. Soixante pour cent (60%) des patients du groupe placebo ont atteint cet objectif tensionnel et respectivement 76% et 78% dans les groupes irbésartan et amlodipine. L’irbésartan a réduit significativement le risque relatif du critère principal combiné : doublement de la créatininémie, insuffisance rénale terminale (IRT) ou mortalité toute cause. Environ 33% des patients du groupe irbésartan ont atteint ce critère principal combiné rénal comparativement à 39% et 41% dans les groupes placebo et amlodipine [réduction du risque relatif de 20% versus placebo (p= 0,024) et réduction du risque relatif de 23% par rapport à l’amlodipine (p= 0,006)]. Lors de l’analyse individuelle des composants du critère principal, aucun effet sur la mortalité toute cause n’a été observé, alors qu’une tendance positive sur la réduction de l’IRT et une réduction significative du doublement de la créatininémie ont été observées.
L’effet du traitement a été évalué dans des sous-groupes tenant compte du sexe, de la race, de l’âge, de la durée du diabète, de la pression artérielle à l’état basal, de la créatininémie et du taux d’albuminurie. Chez les femmes et dans le sous-groupe des patients noirs, qui représentaient respectivement 32% et 26% de la population totale de l’étude, le bénéfice rénal n’était pas évident, bien que les intervalles de confiance ne l’excluaient pas. De même pour le critère secondaire constitué des événements cardiovasculaires fatals ou non, il n’y a pas eu de différence entre les trois groupes sur la population totale, alors qu’une augmentation de l’incidence d’infarctus du myocarde non mortels a été observée chez les femmes et qu’une diminution de l’incidence d’infarctus du myocarde non mortels a été observée chez les hommes dans le groupe irbésartan versus le traitement comportant le placebo. Une augmentation de l’incidence d’infarctus du myocarde non mortels et d’accidents vasculaires cérébraux a été observée chez les femmes dans le groupe de traitement comportant irbésartan versus le groupe de traitement comportant amlodipine, alors que les hospitalisations pour insuffisance cardiaque ont été réduites sur la population globale. Toutefois, aucune explication particulière de ces résultats chez la femme n’a été identifiée.
L’étude « Effects of Irbesartan on Microalbuminuria in Hypertensive Patients with type 2 Diabetes Mellitus (IRMA 2) » montre que l’irbésartan 300 mg retarde la progression vers une protéinurie avérée chez des patients ayant une microalbuminurie. IRMA 2 est une étude de morbidité, en double aveugle, contrôlée versus placebo, menée chez 590 patients ayant un diabète de type 2, une microalbuminurie (30-300 mg/jour) et une fonction rénale normale (créatininémie ≤ 1,5 mg/dl chez les hommes et < 1,1 mg/dl chez les femmes). L’étude a évalué les effets à long terme (2 ans) de IRBESARTAN ZYDUS sur la progression vers une protéinurie clinique (avérée) (taux d’excrétion urinaire d’albumine (TEUA) > 300 mg/jour et augmentation du TEUA d’au moins 30% de la valeur basale). L’objectif tensionnel prédéfini était ≤ 135/85 mm Hg. D’autres antihypertenseurs (à l’exception des inhibiteurs de l’enzyme de conversion, des antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, et des inhibiteurs calciques de type dihydropyridine) étaient ajoutés si besoin pour permettre l’atteinte de l’objectif tensionnel. Alors qu’une pression artérielle comparable a été atteinte dans tous les groupes de traitement, moins de patients ont atteint le critère de protéinurie avérée dans le groupe irbésartan 300 mg (5,2%) que dans les groupes placebo (14,9%) ou irbésartan 150 mg (9,7%), démontrant ainsi pour la plus haute dose une réduction du risque relatif de 70% versus placebo (p= 0,0004). Une amélioration concomitante du taux de filtration glomérulaire (TFG) n’a pas été observée pendant les trois premiers mois de traitement. Le ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique a été évidente dès le troisième mois et s’est poursuivi sur une période de 2 ans. Une régression vers une albuminurie normale (< 30 mg/jour) a été plus fréquente dans le groupe IRBESARTAN ZYDUS 300 mg (34%) que dans le groupe placebo (21%).
Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
L’utilisation de l’association d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion (IEC) avec un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II (ARA II) a été analysée au cours de deux larges essais randomisés et contrôlés (ONTARGET (ONgoing Telmisartan Alone and in combination with Ramipril Global Endpoint Trial) et VA NEPHRON-D (The Veterans Affairs Nephropathy in Diabetes).
L’étude ONTARGET a été réalisée chez des patients ayant des antécédents de maladie cardiovasculaire ou de maladie vasculaire cérébrale, ou atteints d’un diabète de type 2 avec atteinte des organes cibles. L’étude VA NEPHRON-D a été réalisée chez des patients diabétiques de type 2 et atteints de néphropathie diabétique.
En comparaison à une monothérapie, ces études n’ont pas mis en évidence d’effet bénéfique significatif sur l’évolution des atteintes rénales et/ou cardiovasculaires et sur la mortalité, alors qu’il a été observé une augmentation du risque d’hyperkaliémie, d’insuffisance rénale aiguë et/ou d’hypotension.
Ces résultats sont également applicables aux autres IEC et ARA II, compte tenu de la similarité de leurs propriétés pharmacodynamiques.
Les IEC et les ARA II ne doivent donc pas être associés chez les patients atteints de néphropathie diabétique.
L’étude ALTITUDE (Aliskiren Trial in Type 2 Diabetes Using Cardiovascular and Renal Disease Endpoints) a été réalisée dans le but d’évaluer le bénéfice de l’ajout d’aliskiren à un traitement standard par IEC ou un ARA II chez des patients atteints d’un diabète de type 2 et d’une insuffisance rénale chronique, avec ou sans troubles cardiovasculaires. Cette étude a été arrêtée prématurément en raison d’une augmentation du risque d’événements indésirables. Les décès d’origine cardiovasculaire et les accidents vasculaires cérébraux ont été plus fréquents dans le groupe aliskiren que dans le groupe placebo; de même les événements indésirables et certains événements indésirables graves tels que l’hyperkaliémie, l’hypotension et l’insuffisance rénale ont été rapportés plus fréquemment dans le groupe aliskiren que dans le groupe placebo.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
L’irbésartan présente une pharmacocinétique linéaire et proportionnelle à la dose dans une fourchette de 10 à 600 mg. A des doses supérieures à 600 mg (deux fois la dose maximale recommandée), on observe une augmentation moins que proportionnelle de l’absorption orale : la cause en est inconnue. Les pics de concentration plasmatique sont atteints 1,5 à 2 heures après administration orale. La clairance totale et la clairance rénale sont respectivement de 157-176 et 3-3,5 ml/min. La demi-vie d’élimination terminale de l’irbésartan est 11-15 heures. Les concentrations plasmatiques à l’état d’équilibre sont atteintes trois jours après le début d’un traitement en une seule prise par jour. Une accumulation limitée d’irbésartan (< 20%) est observée dans le plasma après administration répétée d’une dose unique par jour. Dans une étude, des concentrations plasmatiques d’irbésartan un peu plus élevées furent observées chez des femmes hypertendues. Cependant, il n’y a pas eu de différence concernant la demi-vie et l’accumulation d’irbésartan. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez la femme. Les valeurs des AUC et Cmax de l’irbésartan furent un peu plus grandes chez les sujets âgés (≥ 65 ans) que chez les sujets jeunes (18-40 ans). Cependant, la demi-vie terminale ne fut pas significativement modifiée. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez la personne âgée.
L’irbésartan et ses métabolites sont éliminés par voie biliaire et rénale. Après administration orale ou intraveineuse d’irbésartan marqué au 14C, approximativement 20% de la radioactivité sont retrouvés dans les urines et la radioactivité restante dans les fèces. Une quantité inférieure à 2% de la dose est excrétée dans les urines sous forme d’irbésartan inchangé.
Population pédiatrique
La pharmacocinétique de l’irbésartan a été évaluée chez 23 enfants hypertendus après l’administration de doses d’irbésartan quotidiennes uniques ou multiples (2 mg/kg) jusqu’à une dose quotidienne maximale de 150 mg pendant quatre semaines. Parmi ces 23 enfants, 21 étaient évaluables pour une comparaison avec les données pharmacocinétiques chez l’adulte (douze enfants de plus de 12 ans, neuf enfants entre 6 et 12 ans). Les résultats montrent que le Cmax, l’AUC et les taux de clairance étaient comparables à ceux observés chez des adultes recevant 150 mg d’irbésartan par jour. Une accumulation limitée d’irbésartan (18%) dans le plasma a été observée avec des doses répétées en une prise par jour.
Insuffisance rénale
Les paramètres pharmacocinétiques de l’irbésartan ne sont pas significativement modifiés chez les insuffisants rénaux ou chez les patients soumis à une hémodialyse. L’irbésartan n’est pas épuré par hémodialyse.
Insuffisance hépatique
Les paramètres pharmacocinétiques de l’irbésartan ne sont pas modifiés de façon significative chez les patients présentant une cirrhose du foie légère à modérée. Aucune étude n’a été menée chez des patients ayant une insuffisance hépatique sévère.
5.3. Données de sécurité préclinique
L’irbésartan n’a montré aucun signe de mutagénicité, clastogénicité et carcinogénicité.
Dans les études cliniques menées chez le rat male et femelle, la fécondité et la performance de reproduction n’ont pas été affectées même à des doses orales d’irbesartan entrainant une certaine toxicité parentale (de 50 à 650 mg/kg/jour) y compris la mortalité à la dose la plus élevée. Aucun effet significatif n’a été observé sur le nombre de corpora lutea, d’implants ou de foetus vivants.
L’irbesartan n’a pas affecté la survie, le développement et la reproduction de la descendance. Les études chez l’animal démontrent que l’irbesartan radiomarqué est détecté dans les foetus chez le rat et chez le lapin.
Chez la rate allaitante, l’irbesartan est excrété dans le lait.
Les études menées chez l’animal avec l’irbésartan ont mis en évidence des effets toxiques transitoires (augmentation de la formation de cavernes au niveau rénal et pelvien, hydro-uretère ou oedème sous cutanés) chez les foetus de rats. Ces effets n’étaient plus retrouvés après la naissance. Chez le lapin, des avortements ou des résorptions précoces ont été observés à des doses entraînant des effets toxiques importants y compris létaux pour la mère. Aucun effet tératogène n’a été constaté chez le rat ou le lapin.
Lactose monohydraté, amidon de maïs prégélatinisé, croscarmellose sodique, poloxamers 188, cellulose microcristalline, stéarate de calcium.
Pelliculage :
OPADRY BLANC 03F58750 (hypromellose, macrogol, dioxyde de titane (E 171), talc).
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas +30°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
14, 28, 30, 56, 84, 90 ou 98 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
ZAC LES HAUTES PATURES
PARC D'ACTIVITES DES PEUPLIERS
25 RUE DES PEUPLIERS
92000 NANTERRE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
34009 399 138 5 8 : 14 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 139 1 9 : 28 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 141 6 9 : 30 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 142 2 0 : 56 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 143 9 8 : 84 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 144 5 9 : 90 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
34009 399 462 4 0 : 98 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Aluminium).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Médicament soumis à prescription médicale.
Liste I.
Notice :
ANSM - Mis à jour le : 02/10/2017
IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé
Irbésartan
Veuillez lire attentivement l’intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez toute autre question, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d’autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
1. Qu'est-ce que IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé et dans quels cas est-il utilisé ?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé ?
3. Comment prendre IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé ?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?
5. Comment conserver IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé ?
6. Contenu de l’emballage et autres informations.
L’angiotensine-II est une substance formée par l’organisme qui se lie aux récepteurs des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne leur constriction. Il en résulte une élévation de la pression artérielle. IRBESARTAN ZYDUS empêche la liaison de l’angiotensine-II à ces récepteurs et provoque ainsi un relâchement des vaisseaux sanguins et une baisse de la pression artérielle.
IRBESARTAN ZYDUS ralentit la dégradation du fonctionnement des reins chez les patients ayant une pression artérielle élevée et un diabète de type 2.
IRBESARTAN ZYDUS est utilisé chez l’adulte :
· pour traiter l’hypertension artérielle essentielle (élévation de la pression artérielle)
· pour protéger les reins des patients ayant une élévation de la pression artérielle, un diabète de type 2 et ayant une preuve biologique d’altération de la fonction rénale.
Ne prenez jamais IRBESARTAN ZYDUS :
· si vous êtes allergique à l’irbésartan ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament (mentionnés dans la rubrique 6)
· si vous êtes enceinte de plus de 3 mois (il est également préférable d’éviter de prendre IRBESARTAN ZYDUS en début de grossesse – voir la rubrique grossesse)
· si vous avez du diabète ou une insuffisance rénale et que vous êtes traité(e) par un médicament contenant de l’aliskiren pour diminuer votre pression artérielle
Avertissements et précautions
Adressez-vous à votre médecin avant de prendre IRBESARTAN ZYDUS et si une des situations suivantes se présente :
· si vous souffrez de vomissements ou de diarrhées importantes
· si vous souffrez de problèmes rénaux
· si vous souffrez de problèmes cardiaques
· si vous recevez IRBESARTAN ZYDUS pour une atteinte rénale due au diabète. Dans ce cas votre médecin peut faire pratiquer des tests sanguins réguliers, en particulier pour mesurer le taux de potassium dans le sang en cas de mauvais fonctionnement des reins
· si vous devez subir une intervention chirurgicale ou une anesthésie
· si vous prenez l’un des médicaments suivants pour traiter une hypertension
o un «inhibiteur de l’enzyme de Conversion (IEC) » (par exemple énalapril, lisinopril, ramipril), en particulier si vous avez des problèmes rénaux dus à un diabète.
o Aliskiren.
Votre médecin pourra être amené à surveiller régulièrement le fonctionnement de vos reins, votre pression artérielle et le taux des électrolytes (par ex. du potassium) dans votre sang. Voir aussi les informations dans la rubrique « Ne prenez jamais IRBESARTAN ZYDUS ».
Vous devez informer votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous envisagez d’être enceinte. IRBESARTAN ZYDUS est déconseillé en début de grossesse, et ne doit pas être pris si vous êtes à plus de 3 mois de grossesse, car il peut entraîner de graves problèmes de santé chez l’enfant à naître s’il est utilisé au cours de cette période (voir la rubrique grossesse).
Enfants et adolescents
Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents car l’efficacité et la tolérance n’a pas encore été établie.
Autres médicaments et IRBESARTAN ZYDUS
Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament.
Votre médecin pourrait avoir besoin de modifier la dose de vos médicaments et/ou prendre d’autres précautions :
Si vous prenez un inhibiteur de l’enzyme de conversion ou de l’aliskiren (voir aussi les informations dans les rubriques « Ne prenez jamais IRBESARTAN ZYDUS » et « Avertissements et précautions »)
Vous pouvez être amené à effectuer des contrôles sanguins si vous prenez
· une supplémentation en potassium,
· des sels de régime à base de potassium,
· des médicaments d’épargne potassique (tels que certains diurétiques),
· des médicaments contenant du lithium.
Si vous prenez des médicaments antidouleur appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens, les effets de l’irbésartan peuvent être diminués.
IRBESARTAN ZYDUS avec des aliments et boissons
IRBESARTAN ZYDUS peut être pris au cours ou en dehors des repas.
Grossesse et allaitement
Grossesse
Vous devez informer votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous pensez pouvoir être enceinte. Votre médecin vous recommandera normalement d’arrêter de prendre IRBESARTAN ZYDUS avant que vous ne soyez enceinte ou dès que vous apprenez que vous êtes enceinte et vous conseillera de prendre un autre médicament à la place de IRBESARTAN ZYDUS. IRBESARTAN ZYDUS n’est pas recommandé en début de grossesse et ne doit pas être pris après plus de 3 mois de grossesse car il est susceptible de nuire gravement à votre bébé s’il est utilisé après le 3ème mois de grossesse.
Allaitement
Informez votre médecin si vous allaitez ou si vous êtes sur le point d’allaiter. IRBESARTAN ZYDUS est déconseillé chez les femmes qui allaitent, votre médecin vous prescrira normalement un autre traitement si vous souhaitez allaiter, en particulier si votre enfant est un nouveau-né ou un prématuré.
Conduite de véhicules et utilisation de machines
Aucune étude sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’a été conduite.
Il est peu probable que IRBESARTAN ZYDUS affecte votre capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Cependant, des vertiges et de la fatigue peuvent survenir occasionnellement lors du traitement de l’hypertension artérielle. Si c’est votre cas, vous devez le signaler à votre médecin.
IRBESARTAN ZYDUS contient du lactose.
Si votre docteur vous a déjà dit que vous présentiez une intolérance à certains sucres (ex lactose), vous devez contacter votre médecin avant de prendre ce médicament.
Mode d’administration
IRBESARTAN ZYDUS se prend par voie orale. Avalez les comprimés avec une quantité suffisante de liquide (ex un verre d’eau). Vous pouvez prendre IRBESARTAN ZYDUS au cours ou en dehors des repas. Vous devez essayer de prendre votre dose quotidienne approximativement à la même heure chaque jour. Il est important que vous continuiez de prendre IRBESARTAN ZYDUS jusqu’à avis contraire de votre médecin.
· Chez les patients ayant une pression artérielle élevée
La dose habituelle est de 150 mg une seule fois par jour (2 comprimés par jour). La dose peut être ultérieurement augmentée jusqu’à 300 mg (4 comprimés par jour) en une prise par jour en fonction de la réponse sur la pression artérielle.
· Chez les patients ayant une pression artérielle élevée et un diabète de type 2 avec atteinte rénale
Chez les patients ayant une pression artérielle élevée et un diabète de type 2, la dose d’entretien recommandée pour le traitement de l’atteinte rénale associée est de 300 mg (4 comprimés par jour) une fois par jour.
Le médecin peut conseiller la prise d’une dose plus faible, en particulier lors de la mise en route du traitement chez certains patients tels que les patients sous hémodialyse ou les patients âgés de plus de 75 ans.
L’effet maximal de baisse de la pression artérielle est obtenu quatre à six semaines après le début du traitement.
Utilisation chez les enfants et les adolescents
IRBESARTAN ZYDUS ne doit pas être administré aux enfants de moins de 18 ans. Si un enfant avale des comprimés, prévenez immédiatement votre médecin.
Si vous avez pris plus de IRBESARTAN ZYDUS que vous n’auriez dû
Si vous prenez accidentellement un trop grand nombre de comprimés, prévenez immédiatement votre médecin.
Si vous oubliez de prendre IRBESARTAN ZYDUS
Si par inadvertance vous oubliez un jour de prendre votre médicament, prenez la dose suivante comme d’habitude. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre.
Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Certains effets peuvent être sérieux et peuvent nécessiter une surveillance médicale.
Comme avec des médicaments similaires, des rares cas d’allergie cutanée (éruption, urticaire), ainsi que des gonflements localisés de la face, des lèvres et/ou de la langue ont été rapportés chez des patients prenant de l’irbesartan. Si vous pensez que vous développez l’un de ces effets ou si vous êtes essoufflé, arrêtez de prendre IRBESARTAN ZYDUS et prévenez immédiatement votre médecin.
La fréquence des effets indésirables listés ci-dessous est définie selon les conventions suivantes :
· Très fréquent : peut affecter plus d’1 personne sur 10.
· Fréquent : peut affecter jusqu’à 1 personne sur 10.
· Peu fréquent : peut affecter jusqu’à 1 personne sur 100.
Les effets indésirables rapportés au cours des études cliniques chez les patients traités par IRBESARTAN ZYDUS ont été :
· Très fréquents (pouvant affecter plus d’1 personne sur 10) : si vous souffrez d’une élévation de la pression artérielle et d’un diabète de type 2 avec atteinte rénale, les tests sanguins peuvent montrer une élévation du taux de potassium.
· Fréquents (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10) : sensation de vertige, sensation de malaise/vomissements, fatigue et les tests sanguins peuvent montrer une augmentation des taux de l’enzyme qui traduit l’état de la fonction musculaire et cardiaque (enzymes créatine kinase). Chez des patients ayant une pression artérielle élevée et un diabète de type 2 avec atteinte rénale, vertiges lors du passage de la position allongée ou assise à la position debout, pression artérielle basse lors du passage de la position allongée ou assise à la position debout, douleurs articulaires ou musculaires et une diminution du taux de protéines dans les globules rouges (hémoglobine) ont été également rapportés.
· Peu fréquents (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 100) : accélération des battements du cœur, bouffée de chaleur, toux, diarrhée, indigestion/brûlure d’estomac, troubles sexuels (problèmes de performances sexuelles) et douleur dans la poitrine.
Des effets indésirables ont été rapportés depuis la commercialisation de IRBESARTAN ZYDUS. Les effets indésirables dont la fréquence d’apparition n’est pas connue sont : vertiges, maux de tête, troubles du goût, bourdonnements d’oreille, crampes musculaires, douleurs articulaires et musculaires, diminution du nombre de plaquettes, altération de la fonction hépatique, augmentation du taux de potassium sanguin, altération de la fonction rénale et une inflammation des petits vaisseaux sanguins affectant principalement la peau (pathologie connue sous le nom de vascularite leukocytoclastique). Des cas peu fréquents de jaunisse (caractérisée par un jaunissement de la peau et/ou du blanc des yeux) ont été rapportés.
Déclaration des effets secondaires
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption mentionnée sur la boîte ou sur la plaquette thermoformée. La date d’expiration fait référence au dernier jour du mois.
A conserver à une température ne dépassant pas +30°C.
Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement.
Ce que contient IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé
· La substance active est :
Irbésartan.................................................................................................................. 300,00 mg
Pour un comprimé pelliculé.
· Les autres composants sont :
Noyau du comprimé : Lactose monohydraté, amidon de maïs prégélatinisé, croscarmellose sodique, poloxamers 188, cellulose microcristalline, stéarate de calcium.
Pelliculage : OPADRY BLANC 03F58750 (hypromellose, macrogol, dioxyde de titane (E 171), talc).
Qu’est-ce que IRBESARTAN ZYDUS 300 mg, comprimé pelliculé et contenu de l’emballage extérieur
Comprimé pelliculé disponible en boîte de 14, 28, 30, 56, 84, 90 ou 98.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché
ZAC LES HAUTES PATURES
PARC D'ACTIVITES DES PEUPLIERS
25 RUE DES PEUPLIERS
92000 NANTERRE
Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché
ZAC LES HAUTES PATURES
PARC D'ACTIVITES DES PEUPLIERS
25 RUE DES PEUPLIERS
92000 NANTERRE
ZAC LES HAUTES PATURES
PARC D'ACTIVITES DES PEUPLIERS
25 RUE DES PEUPLIERS
92000 NANTERRE
ou
CENTRE SPECIALITES PHARMACEUTIQUES
ZAC DES SUZOTS
35 RUE DE LA CHAPELLE
63450 SAINT-AMANT-TALLENDE
Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen
Sans objet.
La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est :
La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est le 1er décembre 2014.
L’ANSM réévaluera chaque année toute nouvelle information sur ce médicament et si nécessaire cette notice sera mise à jour.
Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France).